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Le legacy des Costati

27 janvier 2014

Bonjouuuur !

Tout d'abord, je commence par UN GRAND MERCI A AXOUCHOOWCHOOW PARCE QU'ELLE A FAIT TOUT MON HABILLAGE ET M'A AIDE A DEMENAGER! Et oui, je commence pas par un bonjour parce que je suis troooop malpolie. Bonjour, Moi chest Costati ou Cos ou Costa ou autre,...
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13 octobre 2015

Make it stop, or else my heart is going to pop...

I'm just a little girl lost in the moment
I'm so scared but I don't show it
I can't figure it out
It's bringing me down I know
I've got to let it go
And just enjoy the show

 

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Elle s’avança, silencieusement, ses petites chaussures en cuir arrivaient à recouvrir le bruit habituellement bruyant de ses pas. Prudence Costati, suivit d’un homme se disant photographe, poussa une porte en bois, avec pas mal de difficultés. Elle y trouva derrière une pièce, dont le mot “ordre” était le maître. Il était impossible même pour un lynx de voir la moindre poussière. La brunette se sentit bête, la pièce était presque vide, son excitement l’avait sûrement trompé à nouveau, quand elle y repensait, elle n’avait jamais questionné son nouveau supérieur sur le principe de son travail. Mannequin...mannequin était un mot bien vague, quelle idiote. Pour l’instant, rien ne s’avérait dangereux ou monstrueux et pourtant un mauvais pressentiment hantait les pensées de la belle brune. L’homme derrière elle lui indiqua qu’il s’agissait du vestiaire avant de la pousser près des autres assez violemment.

 

Elle restait surprise et plus le temps passait, plus elle avait l'impression que son malheur se rapprochait à toute vitesse. Ah l'innocence d'un enfant, contre la cruauté du monde... Elle soupira, avant de questionner les jeunes femmes qui se retrouvaient ici.

 

- Quel est notre objectif ici, exactement?

 

Une fine brune aux yeux verts se leva pour fixer la jeune femme, un sourire mesquin s’afficha sur son visage avant que cette joie de vivre passagère s’éteigne instantanément.

 

- Comme tu es naïve...soupira-t-elle. Tu pensais quoi? Que les métiers te tombent dessus comme ça? Sans efforts..J’ai envie de te voir croupir ici, juste pour avoir été aussi stupide.

 

La gorge de Prudence se serra tandis que la demoiselle s'assit sur une chaise nominative, elle sortit d'un tiroir, que la brune n'avait pas remarqué plus tôt, un peigne en nacre tout aussi beau que l'était la propriétaire. Notre héroïne, regarda la scène sans comprendre, elle avait l'impression d'être un extra-terrestre, tous ces visages inconnus la contemplaient comme si elle se trouvait être l'oeuvre la plus réputée d'une galerie d'art. Il y avait dans leurs yeux autant de fascination que de peine et de peur.

 

Celle qui devait se nommer “Veronina” selon la chaise sur laquelle elle était assise, continua de soigner ses cheveux. Au vu du comportement des autres, elle devait sûrement être la chef de ce petit groupe. Elle entrouvrit ses lèvres pulpeuses et Prudence craignait le pire, elle ne semblait pas être la personne la plus adorable et appréciable au monde, loin de là, son ton froid et son arrogance révulsaient toute idiote, espérant s’en faire une amie.

 

- Oh, mais assies-toi, je t’en prie, je me ferai un plaisir de répondre à ta question.

 

Elle ne savait pas pourquoi, mais Prudence, n’avait soudainement plus vraiment envie de savoir, on lui avait tellement vanté cet emploi et voilà que désormais, on était en train de lui révéler que tout ça n’était qu’une façade.

 

- Je peux encore partir, je n’ai pas signé de contrat, essaie de se rassurer la nouvelle.

 

 

Veronina approcha son visage de celui de l’autre pour regarder sa proie dans les yeux, le regard sévère et mystérieux, elle se tut. C’est comme si elle attendait que quelque chose se passe. Elle posa son peigne et mis sa main sur une des joue de sa voisine, celle-ci était tellement terrorisée qu’elle ne put qu’émettre un son de panique bien faible. Cette beauté, qu’était Veronina finit, après quelques secondes d’attente, à partir dans un rire démentiel. Qu’avait-elle, que lui avait-on fait? Elle semblait si souffrante qu’elle n’arrivait plus à ressentir de douleur ou de pitié, non, il n’y avait que de la haine et de la vengeance dans ses beaux yeux. Pourquoi un visage aussi doux avait eu à vivre des évènements sans doutes tragiques. La peur de Prudence, se transforma bien rapidement en pitié et en curiosité. Destabilisée, par ce regard inhabituel sur elle, la demoiselle au peigne en perdit un peu sa voix si envoûtante. Elle finit tout de même par réussir à soupirer, ce qu’elle attendait de dire depuis un long moment, cette phrase, qui elle le savait, servirait d’avertissement à sa voisine et d’amusement pour les autres prisonnières.

 

- Parce que tu crois qu’ils te laissent le choix? Bienvenue en enfer Snegurochka.

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Sa voix était vraiment sincère cette fois et si Prudence n'avait aucune idée de ce que ce nouveau surnom voulait dire, elle savait que c'était loin d'être une insulte, plus un petit mot amical qui rendait Prudence plus gamine qu'elle ne l'était. L'autre avait tellement l'air d'avoir tout vécu que la brune se sentait si petite face à elle. Même si elles devaient avoir à peu près le même âge, l'une semblait si mature face à l'autre, s'en était troublant.

 

Impuissante, même si Prudence souhaitait se lever et fuir, elle en était incapable autant captivée par Veronina que pétrifiée par la peur et l'inquiétude, elle était figée. Ses jambes ne fonctionnaient que pour porter son lourd corps si fragile et ses bras uniquement pour être collés contre ses hanches, aussi fatiguées que son regard lui l'en donnait l'air. Elle n'avait pas dormi, bien entendu. Ses nuits étaient toujours occupées à chercher ceci et cela sur internet, à découvrir des mystères aussi faux qu'ils paraissaient réels. Son côté obsessionnel la poussait à se perdre encore et encore, toujours plus profond, dans les limbes de la toile. Mais en cet instant, c'était comme si elle avait tout oublié. La raison de sa présence sur cette terre, le surnaturel, sa famille, absolument tout, toute sa vie s'était envolée de sa vie et il n'y avait plus que le visage de cette femme si mystérieuse, dans ses pensées. Il faut croire qu'elle s'était trouvée une nouvelle inspiration, une nouvelle chose à épier, à admirer, à découvrir et à connaître. Pourquoi elle ? Pourquoi cette personne si froide, si inaccessible, si différente d'elle ? Elle n'en avait aucune idée, peut-être que Prudence avait au final toujours attendu une rencontre avec quelqu'un qui ne la voyait pas comme une personne agréable et tout le temps joyeuse. Elle la prenait en pitié, pour des raisons que Prudence ignorait un peu, mais c'était bien la première fois qu'on l'a regardé de cette manière, que quelqu'un avait l'air de comprendre que cette gamine perdue avait aussi le droit de se sentir triste et mal.

 

C'est ridicule vous me direz ? Mais vous êtes incapable de savoir à quel point il est facile de souffrir en silence sans que personne ne le remarque, ni cette espèce de fascination que l'on peut ressentir lorsque l'on découvre quelqu'un qui semble comprendre. Même si Veronina n'a jamais vraiment exprimé son opinion et si peut-être tout cela n'est qu'un avertissement qu'elle donne à chaque nouvelle recrue, Prudence avait vraiment la sensation que la jolie brune était plus qu'une mannequin enfermée dans sa carapace. Après tout, elle était humaine et ce jeu ne tromperait jamais la jeune Costati. Elle avait des espoirs plein les poches, traitez-la d'imbécile, mais peu importe, elle croit en l'humanité et c'est bien cela qui la rend aussi forte que vulnérable.

 

Elle resta à son emplacement, essayant d'analyser les émotions qu'elle pouvait bien ressentir. Elle était tellement fascinée par sa nouvelle collègue, qu'elle n'arrivait même plus à comprendre le flot de sentiment qu'elle éprouvait. De la peur ? De l'envie ? De l'excitation ? De la nostalgie ? Pleine d'espérance ? Ou encore terrorisée ? Parce que bien évidemment, si elle semblait l'oublier, Prudence n'avait aucune idée d'où elle était ou de la situation difficile dans laquelle elle s'était mise. On venait de lui apprendre que ce qu'elle avait cru être un rêve n'était au final qu'un cauchemars. Cette imbécile, au lieu de paniquer et de commencer à se sentir étouffer, elle avait perdu tout sens commun. C'était peut-être l'angoisse après tout ? Elle pouvait être tellement mal que son subconscient préférait lui cacher l'horreur de la situation ? Non...non ce n'était pas ça, il faut croire qu'elle n'avait rien à faire de ce qui pouvait lui arriver, c'est comme si sa vie n'avait plus d'importance.

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Tandis que ses yeux fixaient le vide, elle sentit un regard pesant sur son corps. Elle décida donc de revenir dans le monde des vivants et de plus s’intéresser à la situation au profit d’un questionnement sur ses émotions.

Elle avait l'impression d'être une bête de cirque, toutes les jeunes femmes la regardaient avec amusement, les yeux écarquillés. Elle ne s'étonnerait même pas si une d'elle sortait de derrière elle un petit paquet de pop-corn à grignoter. Prudence était clairement devenue un spectacle plus qu'une personnalité. Elle réalisa vite qu'au final, le mannequinât ne serait que ça. Jeu d'apparences, ils se fichaient de ta gentillesse ou de ta méchanceté...autant être aigri dans ce cas non ? Elle ne serait qu'une image, trop belle, trop laide ou trop parfaite. Les images ne réfléchissent pas, les images ne ressentent pas, les images sont statiques et sourissent pour les gens qui les regardent, les images ne sont que des objets. Elle arriva vite à comprendre ce que voulait dire la jeune femme en face d'elle. C'était bien simple, il ne s'agissait pas d'un enfer où les gens se servaient de toi et te faisaient du mal. Elle n'essayait pas vraiment de lui faire peur ou de s'amuser de sa situation. Elle tentait juste de la prévenir au final.

Peut-être non...Prudence ne savait pas, elle avait l'impression que peu importe ce que lui ferait endurer Veronina, elle trouverait toujours une façon de ne pas la blâmer. Elle avait l'ai d'avoir tellement vécu, tellement souffert, la jeune femme ne pouvait pas s'empêcher de se dire qu'au final, l'autre n'était pas responsable de ses actions, ce n'était que la tristesse qui avait pris possession de son corps, son magnifique, bien que maigre, corps.

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La mannequin avait raison, Prue était coincée, elle savait qu'elle devait partir et fuir, mais elle ne le pourrait jamais. Elle savait qu'ils ne la lâcheraient jamais. Comme un caprice d'enfant, ils la voulaient et ils finiraient par l'obtenir. De toute façon, elle n'avait même pas envie de se débattre. Etait-elle si faible ? Probablement... Elle ne l'aurait jamais cru. Elle était Prudence après tout, elle avait élevé son frère, elle avait des dons de télékinésie, elle avait vécu sans sa mère, restant toujours insouciante et merveilleusement heureuse. Alors, pourquoi maintenant, simplement devant les yeux et les paroles de quelqu'un elle avait l'impression d'être totalement brisée ? Elle était simplement devenue complètement misérable et dépendante de cette personne, son visage, sa voix, ses expressions, son accent et ses manières. Prudence savait à cet instant même que l'autre pourrait faire tout ce qu'elle voulait d'elle, parce qu'il n'avait suffît que d'un regard pour qu'elle tombe totalement et éperdument amoureuse d'elle. C'est pour ça que Prudence ne lutterait pas, ne partirait pas, quitte à souffrir le martyr, elle voulait juste rester près d'elle et lui prouvait qu'elle était capable d'être aimé.

La jeune Costati n’aurait jamais pensé être le genre romantique torturée...il fallait croire que c’était de famille.

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Désolée de ma lenteur, j'avais des soucis, c'est tout pourri et tout petit, sorry sorry. Anyway...Chanson: https://www.youtube.com/watch?v=rvncqKNVtlI

Blabla je vous aime...

23 août 2015

It's a picture of my cock on your computer (oui bah j'ai cherché...mais j'ai rien trouvé)

 

A picture of my cock on your computer,

It's a picture of my coooooock, on your computer.

 

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Il était une fois, dans un royaume de tristesse et de rêve trop peu réel,

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Une princesse, il fut dit d'elle que sa peau état aussi froide que son paraître et ses yeux aussi hypnoatisant que deux émeraudes.

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Que serait une princesse sans son prince? Maxime Costati était son nom et la légende dit qu'il aurait été bénit par une sorcière généreuse lui ayant donné succès et beauté.

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Malheureusement pour eux, surtout pour la belle, la vie n'est pas un conte de fée. L'amour n'est pas quelque chose que l'on peut choisir, l'amitié au contraire...

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Peu après que la princesse eut atteint ses dix-huits ans, son prince, aussi triste qu'il parraissait le contraire, apparu à sa porte, s'excusant du manque d'attention qu'il lui portait.

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Elle le pria de rentrer dans son château alors qu'il pensait à quel point il était heureux de pouvoir être avec quelqu'un sans penser aux conséquences.

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Il la prit dans ses bras, la serra contre lui avant de l'allonger dans un coin de la demeure, où ils s'était tous deux amusés à installer les meilleures breuvages alcoolisés de tout le royaume.

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Le prince et la princesse, jouait inconscient et insouciant tandis que les bouteilles se vidaient petit à petit. 

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Proche l'un de l'autre, le beau brun arrivait à presque atteindre la princesse. C'est comme si pour la première fois, elle acceptait d'être touchée et comprise.

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1, 2, 3, là voilà dans ses bras

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4, 5, 6, il souhaitait être encore plus proche de la belle Iris

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7, 8, 9, elle le regardait avec confiance. Sans doutes un coup de bluff?

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10, Les pensées du prince se troublèrent, plus de princesse, à part celle qu'il tenait dans ses bras....sa princesse, la raison pour laquelle il n'avait pas fuit le royaume.

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L'alcool et le désir de chacun des jeunes les poussa à se diriger vers la chambre à coucher. 

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Coincé dans son illusion, le prince n'arrivait plus à discerner la réalité du rêve. Sa princesse était avec lui sans l'être, mais le temps d'une nuit, il pouvait se laisser se perdre dans son mensonge.

End of the fairytale

Mais lorque le soleil se leva, le prince réalisa son erreur. Tout ça n'était qu'un mirage, sa vie n'était qu'un mirage. A vrai dire, s'était-il intéressé à la princesse que pour sa couronne? Même lui ne savait plus. Comme un voleur, le dauphin, déçu n'eut pas d'autres choix que de s'en aller, espérant que tout cela ne fut qu'un mauvais cauchemars. Il se fichait de la princesse, égoïste, il ne pensait qu'à lui et à son amour impossible. La roturière ne finit jamais avec le prince.
Luz Besson ne finira jamais avec Maxime Costati.

 

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Voilà, j'ai majé...yeaaaay....Je suis désolée pour la chanson, j'ai vraiment cherché une qui correspondait, et j'ai pas trouvé. Du coup j'ai paniqué et j'ai mis ça...parce que fuck you Jalex...Désoléééééée, enfin bon, j'espère que c'est clair, je suis pas super sûre, mais après avoir écouté beaucoup de Melanie Martinez j'avais vraiment envie de faire cette mache en mode, conte de fée/contine. C'est Neikka qui m'a conseillé de faire la maj image vu que ma partenaire de crime a eut des soucis de son côté. Si y'en a qui comprennent pas demandez à Neikka, elle sait à peu près tout (oui je t'aime choupi), mais globalement...bah c'est pas compliqué en fait.

Bref la "chanson" c'est -Picture of my cock-, d'un groupe un peu vachement très très con mais tout aussi génial qui s'appelle All Time Low, et pour ceux qui m'ont vu hystériser et crier Jalex sur facebook et twitter....bah c'est ces deux-là, et vous n'avez pas d'autre choix que de les aimer parce qu'ils sont trop putainement adorable.

Voilà, bisouches et moi je me barre dans la fôret, sans wi-fi où je me ferais probablement tuer par des sanglier. Ouiiiiiiiiiiiii, j'aime tellement la nature <3 (le pire c'est que c'est pas du sarcasme).

26 mai 2015

Don't you know that you're toxic?

You're toxic I'm slippin' under,

With a taste of a poison paradise.

I'm addicted to you.

Don't you know that you're toxic?

 

Mes mains sur le guidon, je ne veux pas les retirer, ce serait lâcher prise. Tant d’efforts à t’oublier, tant de moments passés à essayer de vivre en acceptant le fait que je suis toxique pour toi, à la vue de tes beaux yeux, j’ai tellement peur de retomber dans le cercle vicieux dans lequel tu m’as enfermé. Je prends le temps de respirer, du moins j’essaie, ma soeur m’arrache à ma tâche me tirant par le col de ma chemise. Elle retire son casque noir et libère ses longs cheveux bruns avec une classe que bien seule une mannequin pourrait avoir. Elle me sourit, le regard inquiet. Même si elle ne dit rien, je sais qu’elle arrive à voir ma douleur, mais je ne lui la transmets pas, elle a l’air tellement heureuse dans son petit monde de fête, de chic et de glamour. Je baisse les yeux, Max, souffles, tu as passé tellement de temps à t’enfoncer dans l’hypocrisie, ça devrait devenir naturel désormais.

Je te hais Prudence des fois, tu ne pouvais vraiment pas trouver quelqu’un d’autre pour t’accompagner à cette stupide fête d’adolescentes en manque d’amour? Non, bien sûr que non elle ne pouvait pas, il faut toujours qu’elle vienne se mêler de ma vie personnelle. Restes dans tes bouquins à découvrir ceci ou cela, je n’aime pas te mentir. Je finis quand même par entrouvrir mes lèvres pour afficher une légère grimace hypocrite. Je pousse la porte de la salle des fêtes de Midnight Hollows, celui de ma soeur, sautillant sur place, cherchant son amie, et celle qui fut la mienne un temps, du regard.  

 

"LUUUUUUUUUUUUUZ ON EST LAAAAAAAAAAAAA!"

 

Discrétion et finesse, c’est bien Prudence tout ça. Je ferme les yeux pour me concentrer. Sois un connard Max, maintiens ton stupide argument, puis qui dirait le contraire mentirait légèrement. Je fronce les sourcils, prends un air blasé. Elle s’avance vers nous tandis que je reste silencieux.

 

Source: Externe

 

- Salut Prue, je dis une fois à leur hauteur.

- COUUUUCOUUUUUUUU.

 

Elle se penche vers son amie pour lui faire la bise. Personnellement, je préfère saluer les gens en leur roulant des pelles, mais je veux bien comprendre que tout le monde ne soit pas vraiment adepte de cette pratique pourtant intéressante.

 

- REGARDES QUI QUE J'AI AMENE, DIS BONJOUR MAX.

 

- Roooh c'est bon, je suis pas ton chien!



Désolé Prue, j’espère que tu sais que je ne pense pas ce que je dis.



- Vàlà, ce qui prouve bien que c'est l'original et pas un clone.

 

- Je suis désolé, elle m'a volé les clés, je voulais repartir mais, bon...

 

-Bah rends-lui ses clés, Prue.., elle soupire.

 

- BAH QUE NON sinon il va partir sans moi et je pourrais pas rentrer.

 

Ce serait effectivement problématique, heureusement qu’elle a prit quelques précautions, je pense que dans le cas contraire, je serais déjà sur la route. Fuir devant le danger, occupation favorite de Max le lâche.

 

-Et sinon euuh, t'es toujours avec l'autre là? Ta...Cha...Ja. fin' le mec aux cheveux rouges là.. ; qu'il demande avec un ton désagréable, s'accordant à la perfection avec ses paroles.

 

Fin Castiel, l’imbécile qui te rend heureuse, enfin j’espère, sinon saches monsieur tomate qu’un beau poing fermé t’attends.


-Oui, pourquoi, ça te dérange ?

 

Source: Externe

 

 

Tiens, ça m’aurait étonné qu’elle dise le contraire, bien ou non avec lui, je connais assez Luz pour assurer que sa peur d’être seule ne l’aidera pas à rompre avec un mec, idiot ou non.

 

-Nan juste pour savoir, je sais pas comment il a fait pour pas t'avoir encore plaqué..

 

-Comme je me demande comment j'ai pu te supporter.

 

-Ouais, je me demande vraiment, vu comment t'es chiante, me dire que je le suis doit être un compliment donc, merci..

 

-Mmm, Luz, désolé pour lui, je pensais pas qu'il serait aussi odieux avec toi.

 

-Je suis pas..

 

Pas le temps de finir ma phrase que ma folle alliée de soeurette s’est empressé d’attaquer ma tête à l’aide d’une redoutable pitchinette. Elle a plus de force que je ne le pensais.

 

-AAAAAaaaw

- Pas grave Prue, c'est moi qui suis désolée.

 

Je peux plus supporter cette situation, je crois avoir fait assez d’efforts pour la soirée. Il est temps pour moi de me concentrer sur autre chose, de ne plus penser à rien.

 

- Bon bah moi je vais aller vers là-bas hein!

-C'est ça, en espérant que là-bas voudra bien de toi.

 

Source: Externe

 

Je m’approche d’un groupe de demoiselles ayant l’air d’avoir besoin de danser et de se défouler pour oublier. Comme je vous comprends, ne m’en voulez pas pour vous faire croire pendant un instant que vous importez pour moi. Il n’y en a qu’une seule qui occupe mes pensées, celle que je n’aurai jamais, pas que je ne le peux pas, oh ça non, juste parce que je sais qu’elle ne le peut pas. Je me présente, je m’appelle Maxime, j’aimerai bien réussir ma vie...être aimé. Enfin bref, la discussion entamée, il ne faut pas beaucoup de temps pour que mes lèvres se retrouvent sur celle d’une autre. Apprendre le french kiss à autrui est tout de même une très bonne raison pour vous faire embrasser par de belles jeunes femmes.

 

-Et toi c'est Stephanie?

-Ouuuuui...couine-t-elle avant que je l’embrasse. Contact trop peu sincère, jamais personne ne saura égaler ce baiser qui me hante encore.

 

- Pas mal, mais, Tracy est mieux! Au pire...si Tracy t'embrasse tu verras et essaie de faire pareil hein, puis après tu recommences, c'est facile!

 

Quoi? Je suis un mec...deux filles qui s’embrassent, je trouve ça sexy. C’est comme ça c’est tout.

 

-Maxime ?

 

Source: Externe

 

Sa voix mélodieuse me fait frémir, mais je ne le montre pas pour autant. Qu’est-ce qu’elle me veut? Ne comprends-tu pas, que si je suis parti c’est pour éviter ta présence déstructrice.

 

-Oui?

-Tu préfères dormir chez moi ou à l'hôtel ou...avec ta charmante compagnie ?

 

Chez toi, avec toi, mon corps contre le tiens...Dieu, merci de m’avoir ôté l'honnêteté.

 

- Je suis obligé de rester ici je te signale, je suis le chauffeur de Prue et vu les talons qu'elle a mis, elle pourra pas rentrer à pieds.

-Bon eh bien je te mets sur un matelas dans le salon. Objection ?

- Mets moi un matelas double...

-On a plus ça en stock.

- Bon bah désolé les filles! Elle a plus..Je prends vos numéros de toute!

 

Comme si je les rappellerai, ou comme si je me rappellerai de leur stupide prénom. Pour moi elle sont toutes pareille, ce n’est que des numéros dans mon répertoire.

 

- Merci!

 

Source: Externe

 

- C'était juste pour ça Luz?

-Combien tu vas en rappeler, très sérieusement ? Elle me demande, veillant à ce que ma chère compagnie ait vagué à d’autres occupations, comme boire par exemple.

 

- Je sais pas, Tracy à l'air bonne, je verrais..

 

Autant être franc dans ce cas-là, ça ne peut qu’aider à la dégoûter de moi.

 

-Bon ben sur ce j'y vais...

 

Je ne veux pas qu’elle parte, je suis si faible face à l’impact qu’elle a sur mon coeur. Restes, restes pour toujours à mes côtés, restes pour tenir la main jusqu’à ma mort, je t’en supplie, je t’aime.

 

Source: Externe

 

- Luz attends...

 

Les mots m’échappent, je panique, mais la force que j’ai accumulé ces dernières années arrivent à me retenir de me dévoiler. Alors, je lui souris, hypocritement.

-Oui ?

- Si tu t'en va, tu me ramener une bière steuplé ?

 

J’ai beau souffrir de lui avoir menti de la force, je ne peux pas m’empêcher de rire intérieurement, nerveusement ou juste de bonheur, je ne sais pas vraiment. Tout ce que je peux dire c’est que c’était bien joué Max.

 

-Va te faire voir.

- Bah quoi? J'ai soif..

-Sauf qu'aux premières nouvelles, je suis pas serveuse et encore moins à ton service.

- Ah pardon, je suis malpolie. Je suis heureux de te fêter un joyeux anniversaire, tu rentres dans la vie d'adulte, c'est cool, tu sais ce qu'on devrait faire pour fêter ça? Tu vas au bar et tu ramènes deux bières, une pour toi et une pour moi.

-Puisque comme tu le dis si bien c'est mon anniversaire, t'as qu'à y aller, toi.

 

Je serai bien tenté de le faire, mais j’aurai peur de me barrer en courant et de me réfugier dans la maison d’une inconnue avec qui j’aurai sympathisé dans une autre boîte de nuit.

 

Source: Externe

 

-JESSICAAAA.., j’hurle, sans gênes.

-Oui?

-T'es chou, tu peux aller me chercher une bière pour moi et ma copine?

-Oui bien sûr !

 

Elle s’y rend sans broncher, désolée de te rendre si dépendante à moi Jessica, si tu souhaites te venger pour la suite, n’hésites pas, prends un ticket et fais la queue.

 

- Bah elle elle est gentille au moins!

-Inutile de demander à une de tes groupies..Bon eh bien moi j'y vais.

-Luz, attends...

 

C’est tellement dur pour moi de ne pas t’attirer contre moi pour t’embrasser, des fois j’aimerai que tu le réalises.

 

- Luz, attends..okay..

-Quoi encore ?

-Euuuh....rien…

 

Source: Externe

 

J’aurais au moins pu avoir la décence de trouver une autre excuse, mais la voir discuter avec môssieur Castiel, m’a un peu trop destabilisé.

 

-...Tu te fous de moi j'espère.

- Euuuh...nan..

 

Un peu quand même...

 

-Donc tu viens me voir pour me dire "Euuh rien". Instructif...

- Bah oui..

-Et sinon tu deviens quoi ?

 

Un déchet, un truc qu’on jette à la poubelle, plus rien du tout, ton pantin, ta marionette, ton esclave, tu as le choix Luz.

 

- Euuuuuuuuh... Baaah euuh..euuuuuuh…

 

Oui, il y a aussi cette solution là.

 

-Je vois que tu maîtrises les onomatopées.

- Euuuuuuh ou..ouais..

-T'as bu quoi ?

- De la..bière..

 

Et de la tequila, et du whisky et du bourbon, je sais je tiens plutôt bien l’alcool, l’habitude aussi.

 

-Tant que ça ?

- J'ai bu que trois bouteilles...Et toi sinon? Tu deviens quoi?

 

-Ben, majeure.

 

Source: Externe

 

Je suis tellement sous son charme que je serai bien capable de rigoler comme une étudiante japonaise devant senpai-chan.

 

-Enfin...Rien de particulier. Sinon, ça va bien avec Shayna ?

 

Oui oui très bien, on est officieusement séparés, parce qu’apparement elle souhaite me voir mourir et m’en veut d’aspirer sa vie et sa vitalité comme une sangsue.

 

- Ouais, on habite ensemble et tout, mais là elle est pas là pour deux ans, elle fait un voyage au congo pour son job.

-Ah...C'est pour ça que t'appelles Tracy et compagnie, j'imagine.

 

A vrai dire, ça n’a rien à voir, si je me console avec ces filles, c’est plus parce que je t’aime et je ne peux pas supporter de ne pas être avec toi.

 

- Euuh nan, c'est juste parce que...Bah parce que j'en ai envie..

-...Ah...

 

Désolée de te décevoir jeune Luz, à vrai dire, je ne le suis pas, je suis plutôt fier de ça.

 

- Je sais, je suis déçevant, je sais que je suis quelqu'un de nul...

-Mais nan dis pas ça...Tu as changé.

- J'ai changé oui, mais en mal, je le sais bien.

-Comment c'est arrivé ?

 

Source: Externe

 

Oh Max, pourquoi c’est si dur de te faire détester par la seule femme dont l’avis t’importe?

 

- Je suis pas un mec bien c'est tout, et je suis comme ça, c'est pour ça que je veux que tu t'éloignes de moi.

-Nan, c'est pour Shayna, elle ironise.

 

J’aimerai pouvoir sourire, lui expliquer les vrai raisons, celles qu’elle pourrait comprendre. Je baisse les yeux, essayant de reprendre ce visage pâle et inexpressif que j’aime aborder. Je pose mes mains sur ses épaules, plongeant son regard dans le sien. Je frémis. Mon dieu, sa peau est si douce.

 

- Luz...je suis pas un type bien, faut que tu t'éloignes de moi.

-Mais je suis pas quelqu'un de bien non plus.

- Tu sais bien que t'es une fille géniale, moi je suis qu'un con et c'est comme ça, je fais ça pour toi je te le jure.

-Oh, Max. Arrête tes conneries.

 

Je veux ton bien, je fais tout ça pour toi, je ne te mentirai jamais là-dessus Luz. Je comprends que tu ne me crois pas, mais je t’en prie, fais un effort, réalises que je t’adore, t’admire et t’adule.

 

- C'est pas des conneries, je suis plus que sérieux.

-Tu veux me faire un cadeau, pour mon anniversaire ?

- Si tu veux..J'avais rien prévu donc bon..

-Alors tu te tais. Et tu me dis si franchement tu as envie qu'on continue à ne plus se parler. Et à partir de là, on avisera.

- Honnêtement?

-Honnêtement.

 

Je ne peux pas te faire ça, encore et encore. Je m’en veux de faiblir devant elle, mais je ne peux plus tenir ce mensonge plus longtemps, essayons juste d’en dévoiler le moins possible.

 

- Je rêve de te revoir depuis que je t'ai dit qu'il ne fallait plus jamais qu'on ne se reparle.

-Donc autant se reparler.

 

Je pose mes mains sur ses joues, je la sens frissoner, de peur peut-être?

 

- Je peux pas Luz, je suis le pire des salauds...

-Pas avec moi.

- Mais, t'es mieux sans moi non? Avec ton Castiel? T'es mieux avec lui, non?

-Peut-être mais ça m'empêche pas de te parler. Parce que nan je suis pas mieux sans toi.

- Pourquoi tu tiens tant à me parler? Pourquoi ça te rend triste que je sois pas là?

-Parce que je tiens à toi. Beaucoup.

 

Source: Externe

 

Pourquoi Luz, pourquoi te fais tu du mal de la sorte? Es-tu si sotte?

 

- Beaucoup trop sans doute, je suis pas un mec bien! Faut plus que tu me vois, c'est tout!

 

Je m’écarte, fuis Max, tu es bien trop vulnérable.

 

-Tu me détestes ou quoi ?

 

Comment peut elle penser ça? Tout mon masque tombe en ruine, mais je m’en fiche, je ne peux pas la laisser partir avec ça dans la tête. Énervé, j’hausse le ton.

 

- Non enfin, tu comprends rien. J'ai une mauvaise influence sur toi, moi je veux juste ton bien. TU N'ES PAS BIEN AVEC MOI, C'EST TOUT!

-En voulant mon bien tu me fais du mal, tu es si logique.

- MAIS POURQUOI CA TE REND SI MAL QUE JE ME DETACHE DE TOI?

 

Elle suis mon timbre de voix.

 

-PARCE QUE JE TIENS A TOI BORDEL !

- ET ALORS? TU PEUX M'OUBLIER, NAN, TU TIENS PLUS A TON MEC QU'A MOI! JE SUIS PAS SI INOUBLIABLE MERDE!

-Mais ça te fait tant plaisir de plus me parler ?!

 

La musique s'arrête, qu’est-ce que ça peut me faire. A vrai dire, je ne l’avais même pas remarqué, tellement focalisé sur ce que je dois dire ou non.

 

-TU DECONNES LA? JE FAIS CA POUR TOI LUZ! JE REVE DE TOI TOUTES LES NUITS, TU ME HANTES BORDEL, JE ME RETIENS A CHAQUE SECONDE DE T'APPELER. ET JE FAIS CA POUR TOI! TU LE COMPRENDS PAS? JE NE SUIS PAS UN TYPE BIEN!

-Alors, prouve-moi que t'es pas un sale type et arrête d'essayer de faire des conneries pour mon bien.

 

Source: Externe

 

- Je te comprends pas Luz, pourquoi tu tiens tant à moi ?

- Tu veux le speech ? Très bien. Tu as été mon premier ami et pendant longtemps le meilleure, et même si tu t'en fou apparemment de moi, j'ai pas l'intention de te laisser partir à nouveau et surtout pas « pour mon bien ».

- Je m'en fou de toi ? MOI JE M'EN FOU DE TOI ? T'es vraiment gonflé de dire ça alors que tu m'obsède complètement et que DES QUE JE TE VOIS J'AI JUSTE ENVIE DE.....laisse tomber.

 

Eh merde, je savais que ça allait mal finir, tout ça.

 

- TU AS ENVIE DE... ? Elle reprend, non, contrairement à ce que je voulais, elle n’est pas devenu magiquement sourde.

 

- Laisse tomber okay ? T'as ton gâteau qui arrive en plus et moi je me casse.

- TU REVIENS LA.

 

Elle m’attrape le bras assez violemment malgré la fragilité de son corps.

 

- Quoi encore ? Qu'est-ce qu'il y a ? Qu'est-ce que tu me veux ? Tu penses que tu vas réussir à me dire un truc précis ? Toi, toi qui es complètement indécise dans ce que tu penses...

- Ce que je sais c'est que si tu es là, tu restes au moins le temps du gâteau.

- Et tu vas faire quoi si je veux pas rester ? Tu vas me forcer ? T'as aucune influence sur moi okay ? Si je veux me barrer, je me barre !

 

Aucune influence sur moi...laisses moi rire. Ma mauvaise foi et mes mensonges seront ma perte un jour, je le sais bien.

 

- Bon eh bien barres-toi, c'est sûr que ça va me faire du bien de te voir partir, c'est sûr ! Casse-toi si tu y tiens tant ! Vas-y ! C'est ça que tu veux, que je te hurle de partir ?!

 

Je me retourne en entendant son râle.

 

- Mais tu veux quoi Luz ? Tu veux quoi de moi ? Je suis pas ton jouet...

- J'aimerais que tu arrêtes de te faire souffrir et de me faire souffrir par la même occasion, soi-disant pour mon bien, s'il te plaît, pour mon anniversaire !

- Bah alors, arrête de me faire mijoter et dis moi VRAIMENT ce que tu veux de moi, de nous simplement...si y'a encore un nous.

 

Ma curiosité m’a dépassé.

 

- Je veux qu'on soit amis et complices comme avant. Tout simplement.

- Complices quoi ? Complices comment ? Complices qu'on s'embrasse comme avant c'est ça que tu veux ?

 

Oh j’aimerai tellement qu’elle me réponde positivement.

 

- Complice comme on se raconte tout, je vois pas ce que tu veux, je te demande juste de rester, s'il te plaît...

-Bon, Luz, les bougies vont pas se souffler toutes seules, souffles son père, me coupant dans la bulle dans laquelle j’étais précédemment. Des gens existent autour de nous et ils semblent tous très intrigués par notre conversation. Encore une fois je me retrouve être l’attraction principale du cirque de la vie (AZZZIBABWAAA WATASHII)

 

-Oui j'arrive...Max s'il te plaît, juste deux minutes.

-Ouais, je soupire, impatient.

-Merci.

 

Source: Externe

 

Elle s’avance vers le gâteau, sans vraiment s’intéressant à ce que souffler les bougies représente vraiment.

 

-Euuuuh...

 

Elle se retourne, m’adresse un regard suppliant. Je baisse les yeux, crois moi, j’aimerai pouvoir rester avec toi Luz.

 

- Luz..je dois partir, vraiment..

- S'il te plaît.

 

- Mais je vois pas pourquoi je le ferais, je te l'ai déjà dit, t'es bien mieux sans moi.

- Mais nan, je suis bien avec toi.

 

Me prenant par surprise, elle me serre dans ses bras. J’aimerai pouvoir m’en dégager, mais je me sens si bien près d’elle, naturellement, je comme à caresser ses doux cheveux bruns.

 

-Je suis un salaud Luz, pourquoi tu continues à vouloir être avec moi ?

- Parce que nan, t'es pas un salaud.

- Hmm, si j'en suis un !

- Nan. Regardes, tu dis que tu veux plus me parler pour mon bien, c'est que t'es pas un salaud. Même si ça marche pas.

 

Source: Externe

 

Elle se blottit contre moi, Luz, arrêtes de m’infliger telle torture.

 

- Je peux pas faire ça Luz, je mérite pas que quelqu'un d'aussi génial que toi soit mon amie.

- Fais moi plaisir et arrête avec ça.

- Tout ce que tu veux..

 

Je n’arrive plus à la lâcher dorénavant, ça y est, je suis pris au piège, coincé dans la toile qu’est son étreinte.

 

- Merci..j'espère qu'autrement la fête te plait ?

- Mmmm, maintenant oui..

- Et dis moi...

- Quoi ?

- Prue m'a dit que tu étais dans une phase un peu « pseudo-Cast » pour la citer, c'est quoi le délire ?

 

Prue et ses explications à la con.

 

- Elle t'as dit ça ? Pfff c'est stupide , pourquoi je ferais ça ? Je le déteste.

- Bah justement, je me demande aussi mais bon, te voir comme ça ça m'a un peu inquiété..

- Et ? Tu lui as dit à Castiel qu'on s'était embrassé?

- Euuuh nan...fin' tu t'en es chargé il y a même pas cinq minutes de toute façon.

 

Source: Externe

 

 

Ah oui c’est vrai que les autres pouvaient nous entendre, nous n’étions malheureusement pas que seuls.

 

- Tu penses qu'il le prendra mal ?

-Je sais pas, ça date d'avant qu'on soit sortis ensemble soit...

- Mais ça signifiait quelque chose pour toi ce baiser ?



Tu ne que ça à faire que de jouer l’enquêteur Max?

 

- Sur le moment oui mais..'fin pourquoi ?

 

J’ouvre grands les yeux...quoi?

 

- Pourquoi tu m'as pas repoussé ? Je veux dire, plusieurs fois, pourquoi tu m'as pas repoussé même pas une seule fois ?

- Parce que..

 

Elle commence à rougir, je ne peux pas m’empêcher de sourire niaisement.

 

-Ca...me plaisait.

- Et pourquoi ca te plaisait ? Je te plaisais ?

- Euuh...je crois que oui.

- Et je...te plais encore ?

- C'est quoi tes questions, là ?

- Je sais pas, je veux juste savoir, ça m'est passé par la tête et c'est tout...

- T'as pas l'intention de repartir dans un jeu ou je ne sais quoi ?!

- Mais non, je veux juste savoir honnêtement..

- Et toi ?

- T'as pas répondu.

- Baah joker. Donc et toi ?

– Hey t'as pas le droit d'utiliser un joker, de toute si t'évites la réponse ça veut dire que c'est vrai.

- Tu aimerais bien hein.

 

Source: Externe

 

Oui oui, j’aimerai bien, je coupe cette étreinte si douce pour fixer son visage, plus mature.

 

-Dis moi juste la vérité hmm, sans plaisanter.

- Honnêtement ? J'en sais rien.

- Si tu le sais Luz..parce que je sens bien que tu tiens plus à moi qu'un simple ami.

- Tu dis n'importe quoi.

- Luz, je crois qu'il est temps que tu admettes la vérité à toi-même et à moi...

- Mais même si c'était le cas, et ca ne l'est pas, qu'est-ce que ça te ferait ?

- Ca me ferait plaisir.

- Et pourquoi ? Tu aimes que tout le monde soit à tes pieds, c'est ça ? !

- Luz, que tu me le dises ou pas, je sais que tu m'aimes mais, on peut pas être ensemble, je suis un mec horrible, je ve

ux pas de ça pour toi. On ne doit jamais se revoir. Même si ça m'arrache le cœur.

- Max, fais pas ça. Je t'en supplie, fais pas ça.

- Je dois le faire, je peux pas...On doit plus se revoir...on doit plus jamais se revoir.

- Max je m'en fous si t'es un salaud parce que pour moi tu l'es pas et je m'en fous de l'influence ou non..Reste.

- Adieu..et joyeux anniversaire.

 

Source: Externe

 

Je pars je fuis, je me perds dans mon flot de sentiments. Pourquoi tu devais tomber amoureuse de moi Luz? Tu seras obligé de souffrir inutilement désormais. Je ne veux pas te détruire, je me dois de partir, crois-moi je ne le veux pas, mais c’est comme ça. Je ne pense pas qu’il y ait vraiment d’alternatives. Une partie de moi voulait que tu m’aimes, une souhaitait le contraire, je ne sais pas ce que me réserve l’avenir, ou ce que te réserve l’avenir, mais j’espère grandement avoir fait le bon choix. Je t’aime tellement Luz, plus le temps passe et plus mon amour grandit. Je ne sais même pas vraiment pourquoi, mais ce dont je suis certain, c’est que ta perfection défectueuse, et ta pure beauté me rendent fou, de jours en jours. A part toi, je ne sais plus ce que je veux, retiens-moi, mais laisses-moi m’en aller, je suis perpétuellement partagé entre les décisions que je prends pour toi et mes désirs les plus chers. L’égoïsme est bien la faiblesse d’un humain indécis.

 

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Voilà, piouuu, j'ai majé vite cette fois, mais insomnie et fallait bien que je rattrape mon retard vu que l'autre gourdasse elle a majé super rapidement (cordialement, je t'aime avec amour). Du coup, oui les magnifiques images sont de Neik, les dialogues poétiques et phylosophiques de Luz sont d'elle aussi. Cette fois en plus de faire une didacace à ma chérie de d'amour comme d'habitude (elle reconnaîtra la référence à Balavoine et le lien vers le roi lion), je fais aussi ma dédicace à Any. Et oui toi là, bon franchement, je suis pas quelqu'un qui supplie pour des majs, sauf pour celles de Neik parce que ça la saoule, mais j'aimerai pouvoir rp le Irixime et j'ai un peu beaucoup tout paumé, donc faut un peu beaucoup tout refaire, me tapeuuuuuh pas. 

Ensuite, pour les flemmards qu'ont pas cliqué sur le lien, la chanson c'est Toxic de Melanie Martinez (d'ailleurs, écoutez d'autres chansons d'elle, parce que je l'adore et je risque très sûrement d'en mettre d'autres dans de futur maj).

22 mai 2015

Over and Over, I fall for you

I feel it everyday, It's all the same.

It brings me down,

But I'm the one to blame.

 

Cher Journal,

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J'ai toujours trouvé cela un peu idiot de commencer mes articles comme ça. C'est ce que font les gens, non ? J'avais juste envie de parler, de me livrer à quelqu'un et rien de mieux pour ça que d'écrire un peu de tout et de rien accompagné de quelques croquis.

Trois mois déjà que ma vie ne rime plus à rien. Ma Luz, ma petite lumière n'est plus là et le pire c'est que c'est moi qui l'aie chassé. Je regrette et en même temps je suis toujours certains de l'efficacité que mon choix pourra avoir sur son avenir. Depuis plusieurs semaines je commence à me poser de plus en plus de questions, sur moi notamment. Qu'est-ce que je vais devenir sans elle, ce genre de stupidités. C'est ironique, moi qui la pensais dépendante, c'est qui qui se retrouve à prier chaque soir pour que sa belle lui revienne ?

Je me remets en question, je pense qu’en fait je suis égoïste. Vous savez cette mentalité de me sacrifier pour les autres, on est tous d’accord pour dire que ça ne s’applique qu’à Luz. Je me fiche du monde sinon. Tout n’est qu’une façade de toute façon, je ne crois même plus à ce dont je suis censé être convaincu. Je passe des heures à basculer entre le fait de me voir comme un saint ou comme un monstre. Je t’aurais bien demandé de me juger, mais je me fiche de ton avis, il n’y a que le sien qui importe.

J’aimerais qu’elle m’aime vraiment pour ce que je suis, mais si je veux qu’elle m’oublie il serait plus logique de ne pas avoir ce genre de pensées.

 

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Cher Journal,


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Un lit, un plafond qui vous rappelle le ciel et la beauté de ses yeux, c'est mon entourage depuis quelques temps. Je ne sors plus, je me pose, je ferme les paupières, me dis que tout cela n'est qu'un mauvais rêve et puis... ça ne l'est pas. Des fois ma faiblesse se montre et je me mets à verser quelques larmes, des fois je souris en m'imaginant comment les choses auraient pu être si mes choix avaient été différents. Je pourrais te décrire la situation dans laquelle je vis pour que tu comprennes vraiment mon malheur, mais je ne vois pas vraiment ce qu'il y a d'intéressant là-dedans. Je me laisse un peu mourir, c'est sûrement pour ça que je ne me sens plus vivant.

 

Je ne fais rien d’autre que contempler l’échec cuisant qu’est ma vie ou à dessiner son visage encore et encore. C’est ridicule, comme si la perfection de ses traits pouvaient être retranscrite sur papier. Le bruit d’une page qui se déchire, c’est ce qui hante mes nuits et mes journées, je ne dors plus. Je n’ai jamais eu un sommeil très profond de toute façon, on ne peut pas dire que ce problème-ci me surprenne.

 

Plus le temps passe, plus j'aimerais qu'elle me revienne, je voudrais pouvoir voir mon avenir avec elle, mais je n'arrive même plus à ça. Elle me manque tellement, depuis si longtemps que j'ai du mal à me souvenir de chacune de ses petites imperfections, pourtant j'avais le souvenir d'aimer son nez trop fin et ses joues trop rondes, maintenant je ne sais plus trop, je ne sais plus rien.

 

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Cher Journal,


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Je la déteste, du plus profond de mon âme. Avez-vous vu dans quel état, elle me met. Je suis misérable, je veux l'oublier, recommencer ma vie sans elle, mais c'est impossible. J'en peux plus, je voudrais tellement qu'elle me laisse tranquille. Tu m'entends Luz ? Je veux être seul, sans toi, je veux que tu sortes de ma vie. Oh, je sais bien que ce n'est pas de ta faute, tu n'as pas choisi d'être mon obsession, tout le monde le sait. Dis-moi, si ce n'est pas toi, qui d'autre pourrais-je blâmais ?

Je ne veux plus voir ton visage dès que je ferme les yeux, je ne veux pas entendre ta voix me dire que je suis un idiot pour t'avoir laissé tomber, je ne veux pas avoir la vague impression de sentir ton contact quand une brise trop forte caresse ma peau. J'en peux plus d'être hanté par ton esprit, tu me rends fou. Laisse-moi, je t'en supplie, je veux juste arriver à vivre sans penser à toi, sans avoir l'impression de ne respirer que pour toi.

 

De l'amour à la haine, il n'y a qu'un pas. J'ai l'impression d'avoir franchi ce seuil. Tu me tortures tu sais ? Tu me fais vivre un enfer. La souffrance que tu m'infliges, je ne saurai l'expliquer. Je voudrais appeler à l'aide, mais qui s'intéresserait à ce qu'un être comme moi, un idiot si ridicule puisse endurer ?

 

Je veux tellement tout recommencer, revivre mon existence en changeant mes choix. Je voudrais ne jamais avoir croisé son regard, celui qui m'a rendu fou. Je n'avais pas envie qu'elle me prenne mon coeur, qu'elle me prenne tout. Je la déteste tellement, n'en finira-t-elle jamais de me voler tout ce qui m'appartient ?   

 

Pourquoi tout était plus simple avant, on était amis, les meilleurs amis du monde. Rien ne pouvaient nous séparer et maintenant quoi ? Ça fait plus de neuf mois que je ne lui parle plus. Je n'ai aucune idée de ce qu'elle fait et je ne veux rien savoir, ça ne lui suffit pas de m'étouffer de remords, en plus elle voudrait que je la voie sourire et vivre la vie que je voulais qu'elle mène.

 

Je reste dans mon coin, je vais ici et ailleurs, j'ai l'impression d'avoir fait le tour du monde en restant dans ma chambre. Je peux pas sortir, j'aurais bien trop peur de te croiser, toi et tes stupides manières, ton sourire si faux et ton visage bien trop parfait. Oh Luz, comme je veux te voir souffrir, comme je veux te voir mourir. J'ai l'impression que tu m'as ensorcelé et que la seule façon de me libérer de ce maléfice est d'en finir avec ta pathétique existence. Même si j'en rêve quelques fois, je crois que je ne serai jamais assez idiot ou courageux, cela dépend du point de vue, pour faire quelque chose d'aussi grave.

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Cher Journal,

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Luz ? Luz qui ? Les gens peuvent dire ce qu'ils veulent, je sais très bien que j'aie réussi à t'oublier un peu. Tu restes toujours au coin de ma tête, bien sûre, mais je peux enfin vivre. Je bouge, je sors, je rencontre des gens. Je suis heureux, enfin j'ai tellement envie de l'être. Prudence dit que je me mens, que je nie mon amour pour toi. Je ne la crois pas, c'est impossible qu'après autant de temps, moi, Maxime, le coureur de jupon puisse être encore sous le charme d'une gamine pleurnicharde comme toi.

J'espère que tu es heureuse de ton côté, que tu m'as oublié, plus ou moins et que tu as réussi à refaire ta vie avec ce truc qui te sert de copain. J'aurai voulu t'écrire, pour te dire que je ne t'en veux plus, qu'on pourrait même se revoir, que tout va bien, que je ne t'aime plus et que nous ne sommes qu'amis comme nous l'avons toujours été. Mais... et si mes proches avaient raison ? Si ma douleur fut si forte qu'elle s'est effacée pour ne laisser que de l'ignorance ? Non, je refuse de croire à cette stupide théorie. Qui sont-ils pour me dire ce que je ressens ? Personne ne me connaît vraiment à part moi même et peut-être toi, futur lecteur. Qu'en penses-tu ? Je sais, c'est stupide tu ne peux pas me répondre, mais je ne sais plus vraiment vers qui me tourner.

 

Tu me crois, toi hein ? Je ne l'aime pas Luz, je ne l'aime plus, je ne l'ai jamais vraiment aimé, n'est-ce pas ? Tout ça n'était qu'illusion de jeunesse ! Pourquoi alors, ressens-je le besoin de te convaincre ? Je n'ai pas besoin d'une autre personne pour me juger, non, non, je ne veux pas de ton avis, je ne l'aime pas, je l'ai oublié, je le sais.

 

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Cher Journal,

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Comme j'ai pu être stupide à croire mon cauchemars fini. Elle est toujours là et je suis incapable de la perdre. Je crois que la seule chose pour me sauver serait de me concentrer sur quelques pensées différentes, de souffrir seul, au moins je ne plongerai personne dans mon malheur. Je bois, je dessine, je séduis, jusqu'à n'en plus pouvoir. Je ne veux pas que tu voies dans quel état je suis. Je te ferai pitié Luz, je ne prends même pas soin de moi, mais peu importe, il y aura toujours quelques gourdasses sans personnalités pour apprécier mon physique sans y voir la souffrance et le malheur qui s'en dégage.

Je me réconforte dans les bras d'autres demoiselles, même si j'essaie de trouver la bonne, celle qui pourrait te remplacer, elles ne te ressemblent que physique. Leurs cheveux noirs et leurs yeux bleus ne les transforment pas en toi malheureusement. L'alcool m'aide aussi à t'oublier. J'enchaîne les verres, sans vraiment m'arrêter, plus je bois plus tu arrives à me sortir de la tête. Je ne fais plus vraiment grands choses de ma vie, mais au moins je sors. Ah ça oui, je passe mes jours et mes nuits dans différents bars, les uns plus farfelus que les autres. Je sais qu'ici je ne risque pas de te croiser et tant mieux. Je ne te déteste plus, même si j'ai essayé jadis, je n'y arrive plus. Je ne sais pas si ce n'est parce que je n'ai plus de forces ou si c'est simplement parce que mon désir et mon amour pour toi dépassent cette haine.

 

Oublier, t’effacer, je n’ai plus que cela en tête.

Oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, t’effacer, oublier, M’effacer !

 

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Cher Journal,

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Je ne sais plus, je ne suis plus. Je n'ai plus l'impression de vivre et si avant j'essayais d'oublier, maintenant je sais que je n'y arriverai jamais, alors je me laisse crever, plonger dans les limbes de l'hypocrisie et devenir quelqu'un que je ne suis pas. Je change, du moins je le sais, je reste tout de même ce sacré connard d'il y a plusieurs années, je suis peut-être pire. Je me suis fait dévorer par ce que je dégage. C'est fou, pour te préserver de changer, j'ai dû le faire à ta place. L'ironie est bien la pire des armes. Je ne suis plus qu'une bougie, le temps passe, la chaleur augmente et je fonds, je tombe du haut de mon piédestal. J'aimerais que quelqu'un puisse me sauver, mais qui arriverait à comprendre ma peine ? Peut-être toi lecteur ? Et encore, que pourrais-tu faire autre que de m'admirer périr, les sourcils froncés et le regard médisant.

 

Au point où j'en suis, je ne me cache pas pour me protéger, je m'invente une personne pour être simplement. Sans ça, je crois que je n'existerai même plus. Autant me tirer une balle dans la tête vous vous diriez ? C'est à croire que je suis bien trop lâche pour ça, même si je sais que ma vie est vouée à l'échec, je n'ai pas envie de l'arrêter en laissant d'adorables personnes en peine. Et puis, comment pourrait-elle arriver à m'oublier réellement si la culpabilité de ma mort lui ronge les épaules. Je ne me le permettrai jamais.

 

Donc je souffre, mais au moins je ne le montre pas. Pensez-moi stupide, pensez-moi fou, pensez-moi odieux, allez-y, jugez-moi, mais la vérité, jamais vous la connaîtrez. Réfléchissez à deux fois avant de me pointer du doigt avec ma froideur apparente, vous ne savez probablement pas qu'un humain se cache derrière cet automate de fer. Remarquez, moi aussi je me fiche de vous et de votre hypocrisie, après ce n'est pas ce que je prétends lorsque je déchire las, votre coeur. Riez, riez, mais sachez qu'un bon joueur cache toujours son jeu.

 

C'est tes dix-huit ans bientôt Luz, Prudence m'a averti, je n'ai pas le choix, je dois venir. Je mets tapis, je mise le tout pour le tout, mais avant d'abattre mes cartes, dis-moi, suis-tu ?

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Bon bah voilà, tout ce temps pour ça, je suis d'accord, c'est tout pourri. Enfin, j'avais des problèmes de santé et c'était pas facile pour moi, donc soyez compréhensifs, je n'ai pas écris depuis longtemps et j'en avais un peu perdu l'envie, du coup c'est tout pourri voilà voilààà...Bref, je vous aime, je dédie cette maj à Neikkouchoupinette qui a des exams aujourd'hui, je lui dis un gros merde et voilà. Ensuite, Nounouche, je t'aime trop trop, tu me manques, tu bosses beaucoup ces derniers temps, on te voit pas trop et ça me rend triste. Je t'aime troooop trooooop. Breeeef...

La chanson c'est Over and Over de Three Days Grace, pour les flemmards qui n'ont pas cliqué sur le lien. BTW, ce groupe est vraiment génial, je le conseille à tout le monde et non, à la base la chanson ne parle pas d'une histoire d'amour, mais comme c'est pas trop tip top clair, je l'ai mise aussi, parce que ça allait bien et voilàààà parce qu'elle est trop cool cette chanson aussi.

Je vous love, du coup oui la prochaine maj, c'est l'anniversaire de Luzoupinette, vous verrez Darvill, Enora, Prudence et Gabe dans une petite plombe x). 

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14 février 2015

And you fall, and you crawl and you break what you get...

Tell me, Why do you have to go

and make things so complicated?

I see the way you’re acting like

you’re somebody else…

 

Darvill tourna les fines pages du roman avec une douceur presque malsaine. On aurait pu croire qu'il tenait sa vie entre ses mains. A vrai dire, ce n'était pas la sienne, mais celle de son oncle, c'était du pareil au même après tout. Il posa ses doigts sur le papier vieillot, la poussière s'y était trouvé un foyer. Il trouvait ça tellement incroyable. Vous rendez-vous compte qu'un chef-d'oeuvre tel que ce journal se fasse dévorer par le temps et l'inattention. Par reflex, comme il l'avait fait auparavant, le garçon souffla pour faire fuir la saleté, Il dévoila ainsi le texte qu'il avait tellement hâte de lire.

Page n°133, déjà, il avait trouvé le bouquin il n'y a que très peu de temps et pourtant, ces mots si sincères il les avait vus, analysé avec rapidité sans pourtant en oublier la puissance magique de chacun d'entre eux. Ce ne sont pas que de simples verbes accompagnés de nom, c'est une histoire, une fantaisie, une romance, une vérité déchirante qui lui rappelle à quel point vivre dans la solitude n'a rien de mauvais.

Il commença sa lecture, enfin, après avoir méticuleusement nettoyé le chapitre qu'il avait décidé de lire aujourd'hui.

 

           Cher lecteur, je sais bien que mon journal ne resta pas ignoré, je porte toute ma confiance en Costati, sa discrétion est tellement faible que je pourrais déjà deviner ce qu'adviendrait de ce livre. Enfin, si vous êtes à la page 133, vous savez déjà sûrement tout ça. Pourquoi dois-je vous le rappeler alors ? Je crois simplement que j'aime bien m'adresser à vous, à toi, au moins tu connais ma vérité, tu peux arriver à me comprendre.

Luz...Oh Luz, tu sais comme je l'aime, comme je ne veux pas lui faire du mal. Tu sais tout ça. Je me sens si misérable face à elle, elle si douce, son sourire, son innocence envoûtante. Malgré tout ce qui ait arrivé dans sa vie elle arrive à rester forte. Peut-être que vous pouvez penser qu'elle ne fait que subir sa destinée, mais je ne suis pas de cet avis. Je suis avant tout son meilleur ami, celui qui lui a parlé des heures et des heures, des nuits entières à écouter ses problèmes. Je l'ai vu pleurer, je l'ai vu sourire, je l'ai vu rire, je la connais par coeur. J'arrive à comprendre ce qu'elle ressent des fois. Sa mère est morte et la mienne m'a abandonné, c'est un peu la même chose non. Disons que ça ne nous met pas dans le même état, elle, elle est dévorée par la rage, par la peur et par le fait de rendre sa mère fière. Je n'ai plus l'impression qu'elle vit vraiment, je la sens s'éloigner de plus en plus de ce qu'elle est. Je ne suis pas idiot, plus elle se rapproche de moi, plus j'ai l'impression qu'elle se transforme en quelqu'un de différent. Vous pourrez dire que c'est le temps, mais je pense que j'en suis la cause. Je ne suis pas bien pour elle, Castiel l'est. Même si ça me tue de l'admettre, il saura la rendre douce et faire en sorte que la rage qui l'anime parte en courant. J'aimerais pouvoir lui apporter ça. Qu'elle m'aime ou pas au final, je suis obligé de la laisser partir pour la rendre heureuse. J'ai l'impression de lui faire du mal, au moins je sais que je fais ça pour elle. Elle pourra me haïr, m'en vouloir comme jamais, penser que je l'abandonne sans raisons, je saurai qu'au final elle sera plus elle-même. Il faut juste qu'elle m'oublie, je ne sais pas comment elle pourrait réagir si elle continuait de m'imaginer près d'elle, ça pourrait la rendre folle, je la connais. J'ai peur de ça mais c'est la meilleure chose à faire, pour le nous que nous ne serons jamais.

Saches que ce que je vais te dire m'a fait pleurer de douleur, je ne garantis pas que mon journal ne sera pas imprégné de mes quelques larmes après t'avoir expliqué tout ça. Je m'excuse d'avance, mais comprends ma tristesse, je sais que tu le peux, tu as toutes les données pour.

J'avais allumé skype, tu sais ce logiciel pour discuter, je ne sais pas si cela existe encore dans ton époque, enfin...Je ne pourrais même pas mettre des mots pour expliquer ce que j'eus ressentis quand je vis son icône tourner au vert. Elle était connectée et depuis longtemps apparemment. Un peu de joie et de tristesse aussi, surtout de la tristesse, renoncer à elle, quelle horreur. Des fois, j'aimerai être égoïste et la gardait tout contre moi même si ça la tue, je ne suis pas comme ça. Ce n'est pas pour rien que j'ai ce don, c'est un peu mon devoir de me laisser tomber dans la noirceur du malheur pour que les autres soient un tant soient peu soulagés.

Elle se précipita sur son clavier pour m'envoyer un simple mot de gentillesse, un petit et léger salut, juste ça. La connaissant ça ne m'étonnait pas vraiment, les longs discours ce n'était pas vraiment son fort. Je tentai de prendre un ton sérieux, enfin un ton c'est vite dit, comme faire passer des émotions avec des phrases aussi courtes que celles que m'adresse ma mère.

 

[00:04:52] Max: Coucou...faut qu'on parle.

[00:05:14] Luz: Oui, je pense aussi.

[00:05:39] Max: A propos de ce qui s'est passé la dernière fois.

[00:05:48] Luz: Oui...

[00:05:54] Max: Je crois qu'on devrait ne plus jamais se revoir.

 

Je ne te dis pas à quel point retranscrire cette conversation me rend triste. J'ai peur de ce qu'elle a pu ressentir après avoir lu cette tirade. Elle a dû être dévasté, pensé qu'on l'abandonne encore, comme l'avait fait sa mère même si c'était contre son gré. J'attendais sa réponse en tapotant nerveusement sur ma souris. Ma tête était penché en arrière et je me suis surpris à prier, prier pour qu'elle ne m'en veuille pas, qu'elle puisse comprendre soudainement. C'était ridicule et ça l'est encore quand j'y repense. Il n'existe pas un dieu, il n'existe personne d'assez important pour rendre ce putain de monde un peu plus doux.

Je fixai le petit écran à nouveau, je pouvais voir quelques petits points apparaître, mon coeur se serra. Elle était en train d'écrire, que pouvait bien dire, penser ? Allait-elle être indigné, déçue ou même triste ? Je fermai les yeux, j'avais l'idiotie de penser que tout cela n'était qu'un rêve et que peut-être que je me réveillerai loin de tout ça, dans un monde où je serai avec elle et où je pourrais vivre la vie que j'ai toujours voulue près de son corps, mes lèvres sur les siennes, mes yeux la dévisageant avec amour et ce stupide sourire sur mon visage qui prouverait mon bonheur. Je n'ai pu le voir qu'en sa présence. Avec elle j'oublie tout, mes peurs, mes doutes, elle fait disparaître tout le mal en moi et la seule chose qui y reste est l'amour que je lui porte.

 

[00:06:16] Luz: QUOI ?

[00:06:22] Luz: Pourquoi ?

 

Luz, et sa façon de s'interroger sur un peu tout, elle ne pouvait pas comprendre que lui annonçait ça pouvait être dur pour moi et que lui donner des explications pas forcément réelles était une véritable corvée ?

 

[00:06:58] Max: Parce qu'on est en train de foutre en l'air notre amitié.


Amitié...si seulement les choses pouvaient être si ridiculement simples. Je poussai un soupir, ça me permettait d'évacuer cette peur de notre avenir. Je voulais vraiment penser à autre chose, mais comment quand son beau visage se retrouve au centre de toutes vos pensées, des plus douces au plus malsaines.

 

[00:07:32] Luz: Mais tu crois que ne plus se revoir ça va arranger les choses ?

 

Je ne sais pas, ça va peut-être les empirer, mais laisses-moi croire que j'ai pu faire quelque chose qui ait pu te rendre heureuse par la suite.

 

[00:08:20] Max: Non mais, il faut que je ne te revois plus. Je veux pas casser ce que j'ai avec Shayna.

[00:08:45] Luz: Nan mais je comprends pas, tu disais pas que tu t'en foutais ?

[00:09:47] Max: J'ai jamais dis ça, arrêtes de mentir et accepte le se sera mieux pour toi en plus, vis-à-vis de Castiel et tout. On doit plus jamais ce revoir et c'est tout, point barre.

[00:11:38] Luz: J'ai l'impression que t'as Alzheimer avant l'âge..Mais bon si je compte si peu pour toi eh bien tant pis j'imagine.

[00:12:34] Max: Me contredis pas okay, j'ai pas à m'expliquer d'abord, si je te dis qu'on doit plus jamais se revoir, c'est comme ça!

[00:12:41] Max: Max s'est déconnecté

 

Ne me juges pas, l'émotion ne me rend pas le meilleur en improvisation. J'avais renoncé à elle, je l'avais perdu et sûrement pour toujours. Vu les kilomètres qui nous séparent, il serait dur de la recroiser dans une des rues sombres de Brooklyn. Mon ordinateur s'était éteint un peu en même temps que mon coeur, il ne donnait plus de signe de vie et moi j'étais statique, encore sous le choc sur ma chaise de bureau. Je voulais frapper quelque part, me blesser, me faire mal, me faire souffrir pour l'horrible chose que je venais de faire. Des regrets ? Bien sûre que j'en avais, je ne pourrais jamais écrire un monologue assez grand pour comprendre à quel point je l'aime et je la veux près de moi. Savoir que tout ceci n'arrivera jamais me tue, littéralement, j'ai l'impression que des parties de moi sont parties en même temps que notre séparation. Je suis peut-être quelqu'un d'insensible, je ne pleure pas beaucoup, j'ai tendance à encaisser la douleur à rester froid, mais là s'en est bien trop pour moi. Des larmes avaient coulé sans surprise et je sens d'ailleurs aujourd'hui cette tristesse refaire son apparition.

J'aurais aimé me reconnecter, lui dire que je l'aime, que c'était une mauvaise passe et que je ne l'abandonnerai jamais. Je ne pourrais jamais, je sais que je fais ça pour elle. Enfin, c'est ce que je prétends, qui sait ? Peut-être ne suis-je qu'un imbécile, incapable d'assumer ma trouille grandissante et mon manque de courage. J'ai peur de la perdre et pour éviter ça je décide de la laisser partir, c'est assez ironique non ? Il faut croire que chaque solution menait à cette issue. Je me suis toujours sentie martyre de toute façon, j'ai toujours pensé que ma destinée était de souffrir pour les autres...enfin pour elle, je me fiche des autres de toute façon. Il suffit de constater les gens que je blesse continuellement pour le comprendre. Même elle, même elle je la rends triste, elle pleurait en ce moment-même, j'en étais sûre et je le suis encore. Il faut vaincre le mal par le mal après tout, non ?

Luz, l'amour est simplement folie et nous sommes fous, pourquoi ne nous aimons pas normalement alors ? Eh bien parce que les saines personnes cherchent le bonheur dans le malheur, notre malheur.

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Coucou les gens, non, je ne suis pas morte. J'ai eu des soucis d'ordis et j'essayais de régler ça, j'ai quand même trouvé le temps de majer donc voilà pour vous un pitit peu de Luxime, fin beaucoup de Max quoi. J'espère qu'avec cette maj vous arriverez à le comprendre un peu et si vous pensez toujours qu'il est con et qu'il a pas de raison d'agir comme ça...bah...vous avez le droit, on est un pays libre. Donc....je vous aime.

La chanson du début c'est celle-ci: https://www.youtube.com/watch?v=VQXfexNVPSs

Ah et j'aimerais beaucoup que vous me dites sur qui vous voulez que la prochaine maj soit centré? Vous avez le choix entre:

Enora (vous allez l'adorer)
Max (encore, je dois rattraper mon retard parce que l'autre bonnasse est trop en avance)
Darvill (le plus beau, le plus fort avec sa vie merdique)

Ou bien...Une banane (je viens de la télécharger dans les sims et je me vois vraiment bien faire une fanfiction sur son histoire x)

 

22 janvier 2015

Est-ce que ça fait de moi une personne sans personnalité ? Peut-être, sûrement…

Oh, this is the end of everything that I’ve known

no way of knowing if I’ll ever be home

I don’t ever wanna be alone

alone…

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Le garçon venait de fermer la porte en bois clôturant ainsi tout contact extérieur, s'enfermant dans sa bulle. Il passa une main dans ses cheveux noirs, il repensait sans cesses à ce qu'on lui disait.

 

" Ta mère est morte petit, je suis désolé"

 

 

Tout était si faux, l'humanité semblait être caché par un immense masque d'hypocrisie. Ils n'en avaient rien à faire. Ils voulaient juste se donner bonnes consciences. Même son père semblait s'en foutre. Lorsque le jeune lui posait cette fameuse question " Où est ma mère..?", il répondait qu'elle était morte, partie. Mais ça, Darvill le savait déjà. Il argumentait donc: "Où est-elle enterrée..?". Son père feignait de ne pas entendre. Le garçon n'était pas idiot, il savait qu'on lui cachait quelque chose. Il aimait sa mère, du moins il se rappelait vaguement de bon souvenirs avec elle.

 

L'héritier Costati s'assit alors sur son lit, son regard se posa sur un petit cadre exposé sur une étagère. Il tendit la main, hésitant, c'était comme l'homme dans l'oeuvre de Michel Ange, il voulait se rapprocher de la photo -qui symboliquement représentait pour lui sa mère- mais quoi qu'il fasse, il serait toujours incapable de l'atteindre. Elle était autre part et bien trop loin de lui. Le garçon se laissa tomber sur son lit, le poids de sa tête l'ayant basculé en arrière, son corps heurtant le matelas. Il ferma les yeux, le temps d'une seconde il était transporté dans un univers de rêve et de fantaisie. Seulement un instant et il se retrouva dans un parc... Un visage, le sien. Son réveil sonna, cette fois il n'avait pas pu lui parler.

 

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Darvill se hissa sur ses pieds avec un enthousiasme bien rare. Il sortit du premier tiroir de son bureau un carnet. Sur chaque page on pouvait y voir un dessin similaire. Un pro aurait pu discerner la particularité et la technique de l'artiste. Il avait du talent et même un sot s'en serait aperçu. Il tenait ça de son oncle lui disait-on. Il se sentait proche de lui. "Maxime Costati", il savait que le frère de sa mère avait la réputation d'être un homme charmant et abusant quelquefois de ses atouts. Darvill sourit, même son prénom confirmait sa réputation. Il était doux et agréable, pas comme le sien qu'il trouvait affreux. Il était tellement bizarre, original certes, mais on aurait dit que ses parents l'avaient trouvé après Churchill dans le dictionnaire des noms propres.

 

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Il ouvrit son calepin et observa ses oeuvres encore une fois. Il les trouvait surfaites, bien entendu, c'était le comble de chaque artiste. Il n'arrivait pas à immortaliser la rareté du visage de la gamine. Elle avait ces tâches de rousseurs uniques si particulière pour son teint de peau assez mat. Son nez lui rappelait étrangement celui de sa mère, mais il avait vu beaucoup de personnes à Brooklynn ayant cette particularité. Ce devait être typique de la ville il présumait.

 

On avait déposé des lettres près du sacré cadre et Darvill prit un de ces malins plaisirs à arracher les enveloppes. Il sortit quelques cartes postales qu'il ne prit pas la peine de lire. Il en recevait beaucoup, de personnes ne le connaissant même pas quelques fois qui leur apportaient soi-disant du soutien, se sentant si peiné pour le gamin. Il en avait marre de ces gens si égoïste. Il n'y en avait qu'un seul qui le comprenait et qu'il comprenait. C'était son oncle mais celui-ci était bien loin. Il n'en avait pas encore découvert la raison, il n'avait pas lu le livre jusqu'à ce chapitre. Le livre...Quel livre? Vous vous demandez sûrement. C'était un bête journal que Darvill avait trouvé dans des cartons empilés dans le grenier de la villa Costati lorsqu'il avait été rendre visite à sa grand-mère. C'était intime, Darvill ne voulait pas le toucher, mais une voix lui avait incité. Elle avait dit que c'était son devoir, qu'elle avait collecté les pensées de son oncle les inscrivant dans ce récit pour que le jeune homme puisse les lire. Sa vie pourrait en être changé après. Elle disait que c'était la plus triste histoire d'amour qu'elle avait vu et il devait le lire. Il se croyait fou, atteint de schizophrénie, mais on lui apprit ce soir-là toute cette histoire de legacy. Il devait hériter de sa mère morte et par ailleurs il était le seul à entendre une voix qui était là pour le guider. Personne ne savait vraiment son nom, elle se faisait appeler apparemment Cos, mais avait ce plaisir coupable de se donner des sobriquets les plus ridicules les uns que les autres.

 

Puis, le petit qui s'était perdu dans ses pensées, se reprit tenta de s'empêcher de divaguer et de finir par ne plus retrouver le chemin vers la réalité. Il avait cette fâcheuse habitude. Il était incapable de rester concentré. Il ne savait pas si cela existait, mais il était comme un hyperactif du cerveau. Il faillit rire lorsque cette idée effleura son esprit, ce qu'il pouvait penser comme un idiot des fois. On lui disait pourtant le contraire, tout le monde avait tendance à clamer que c'était un môme prodige. Il ne se trouvait pas spécial, il aimait lire, dessiner et rêver. Tous les autres enfants étaient comme ça non ? Ils avaient tous la tête dans les étoiles à toujours s'imaginer ailleurs, dans les étoiles, les images ou autre part, comme un parc par exemple. C'était le cas pour Darvill et il savait pourquoi. Toutes ses nuits agitées se déroulaient dans un parc, c'est débile, il n'aime pas la verdure. Il faut croire qu'elle elle apprécie ça. Elle lui en a montré tellement, les plantes qui bordent tel ou tel lac, celles qui escaladent les murs comme des lézards. Elle peut se montrer si ennuyante des fois, mais ça n'empêchait pas Darvill d'aimer sa présence et de souhaiter de ne jamais ouvrir ses maudits yeux.

 

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Le jeune qui se lamentait encore sur sa misérable existence finit par trouver la motivation qui lui était nécessaire pour aller en cours et se cultiver. Il tenta de ne pas repenser à cette petite même si ce fut extrêmement dur pour lui, il tenait tellement à elle et pourtant il ne savait même pas son prénom ni la raison pour laquelle elle venait perturber ses nuits. Mais des fois elle n'était pas là et ça le rendait tellement triste, mais il se ressaisissait et généralement il retrouvait toujours une raison pour se sentir mieux, pour le faire sourire. Il s'agissait d'ailleurs souvent d'un souvenir amusant qu'il avait vécu et adoré avec sa compagne nocturne.

 

 

Darvill se décida enfin à sortir de sa petite grotte et retrouva sa tante adorée dans la cuisine en train de s'amuser à faire sauter quelques pancakes tout en murmurant de petits secrets à son beau-frère. Ils faisaient tout le temps cela et l'héritier ne le supportait étant de nature curieuse. Alors, il fouinait pour avoir plus d'informations, mais il faut croire que les adultes savaient bien à quel point il adorait les mystères. Darvill a toujours supposé que les deux parlaient de sa mère, mais il trouvait cela assez étrange. Que pouvaient-ils en dire après tout, elle était partie, il n'y avait plus de raisons d'essayer de la rendre vivante en la plaçant au centre de toutes leurs conversations.

 

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Gabe et Prudence cessèrent tout de suite leurs précédentes activités et se séparèrent. Ils le prenaient vraiment pour un idiot, il était clair que les adultes cachaient quelque chose de plutôt important au petit. Croyez-le, ce n'était pas des cadeaux de Noël, c'était bien plus gros, tellement qu'il savait que s'il apprendrait la vérité il ne serait plus jamais celui qu'il était avant. C'était un gamin malin, on faisait ça pour le protéger, il le savait. Mais ça n'empêcherait jamais sa curiosité de le rendre fou, il ne supportait pas le fait d'être ignorant. Lui, il était réaliste, quand quelque chose le tracassait il posait sa question sur internet et on lui donnait toujours une réponse satisfaisante. Il est débrouillard, ça c'est certain, quelques-uns pourront même vous dire qu'il est assez capricieux et des fois trop impatient. Pourtant, quand il le veut, il sait se présenter comme un petit ange fade qui sourit et parle quand il le faut, pour dire ce qu'il faut comme il le faut. Il n'est pas un admirateur de l'hypocrisie, mais il est prêt à tout pour avoir ce qu'il veut. Il est comme ça Darvill, curieux et manipulateur. Et qui sait, c'est peut-être ça qui le mènera à sa perte, tout comme l'amour à mener son oncle dans un monde bien trop sombre.

 

Le jeune homme failli sursauter lorsqu'une porte en bois claqua derrière lui. Toute la mélancolie qui avait commencé à parcourir son être vola en éclat et il tourna rapidement la tête pour savoir quelle en était la cause. La jolie blonde qui avait l'air énervé, c'était elle qui avait fait tout ce rafus. Elle s'approcha de Darvill et secoua rapidement ses cheveux, même s'il faisait mine d'être agacé par son geste, celui-ci l'amusait assez. Leur relation était bien spéciale et dure à comprendre, mais ça ne l'empêchait d'adorer sa "tante", bien que celle-ci soit assez excessive et inquiétante de temps en temps.

 

Enora déposa un léger baiser sur les joues de sa compagne pour lui dire bonjour dignement et s'adossa contre le comptoir, elle fixa les belles prunelles bleues de sa petite brune, Darvill se sentant de trop en profita pour continuer ses préparatifs, il ne voulait pas manquer l'école, déjà que son dossier scolaire n'était pas glorieux.

 

Prudence remarqua vite le bandage qui entourait une des mains de son amie. Cela faisait déjà quelques temps qu'elle voyait que celle-ci allait assez mal. Mais elle connaissait Enora et elle savait que celle-ci était réservée et n'aimait pas vraiment parler de ses soucis. Mais cette fois, c'était bien trop, elle la ferait parler, peu importe ce que ça lui coûtera.

 

 “ AANNNNW, chérie, qu'est-ce que t'as à ta main ?

 - C'est rien, bafoua la blonde un peu gênée que sa partenaire ait remarqué sa  blessure.

 - Te fous pas de moi Nora..

 - Je me suis coupée.

 

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Elle regarda Prudence comme si celle-ci était sa mère et que la petite blonde   avait fait une bêtise qu'elle tentait de cacher comme elle le pouvait. Mais la brunette n'était pas dupe.

 

 - Oui ça j'ai vu, mais comment ?

 - Je suis tombée..

 - Sur un couteau ?

 - Nah, sur un miroir..

 

Il ne suffit que d'un regard pour que la jeune femme comprenne le problème. Sa petite-amie n'arrivait plus à se regarder en face, c'était sûrement à cause de ces stupides cicatrices. Elle n'avait jamais réussi à savoir d'où elle les tenait, mais elle n'était pas conne au point de ne pas comprendre qu'elles étaient rattachées à un évènement malheureux qui la blessait psychologiquement.

 

 - Si tu ne veux pas m'en parler je comprends, mais dis toi bien que tôt ou tard il faudra que tu m'expliques toute cette histoire. Je t'aime toi et tout ce qui va avec, y compris ton passé.

 

Enora poussa un soupir, ce que disait son interlocutrice était tellement vraie, elle ne pourrait pas fuir la réalité toute sa vie et déjà ses cicatrices le lui rappelaient. Mais pour l'instant c'était bien trop tôt, alors elle se contenta juste d'esquisser un léger sourire à son amie tout en lui murmurant, la voix un peu chamboulée, "Moi aussi je t'aime."

 

 - Je sais, tout le monde m'aime, rigola Prudence de façon à détendre l'atmosphère.

 

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/POV DARVILL (premier de la Gen, YEAAH)/

 

Je m'étais assis sur le siège le plus proche de moi dans ce bus qui semblait si vide. Il faut croire que dans mon quartier il était rare d'y trouver des écoliers. Je ne sais pas pourquoi, mais je pense que la raison est financière, mes parents ont décidé d'habiter dans le coin. Il n'y a absolument rien, quelques gros buildings un peu décoratifs, où il n'est pas formidable d'y voir sortir des businessmans assez désagréables, un ou deux petits parcs, là-bas la verdure n'est pas spécialement florissante. Je ne sais pas qui est l'imbécile qui a décidé de le nommer espace vert, mais il faudrait qu'il revoie ses couleurs. J'avais glissé mes écouteurs dans mes oreilles, enfin mon casque. Vous savez, à Brooklyn il y a deux types de gens, l'équipe des écouteurs et ceux des casques. C'est totalement stupide de se faire la guerre sur telles stupidités, les deux objets ont la même utilité. Mais je peux bien comprendre ce débat, je préfère tellement l'idée de me sentir isolé, comme plongé dans la musique quand je glisse cet accessoire sur mon crâne tout comme un autre le ferait avec un serre-tête.

 

A cause du long trajet q

 

ui me sépare de mon collège, je dois avouer qu'il m'arrive de divaguer et même d'aimer me laisser porter par mes idées. Enfin, je continue de détester devoir me lever bien tôt pour ne pas louper le transport commun qui ne vient presque que pour moi de toute façon. Il faut me comprendre, allez arracher un insomniaque au sommeil qu'il avait eu la chance d'avoir pour une fois. Je passe mes nuits et aussi mes journées à réfléchir et ça me tiraille la tête. Il faut dire qu'avec le mystère qui m'entoure c'est une réaction normale non ? Vous ne pensez pas ? Déjà il y a ma mère qui meurt bêtement sans que je puisse en connaître la cause, les discussions secrètes entre ma tante et mon père, le caractère bipolaire d'Enora qui bascule de la douceur à de l'agressivité, je ne vous parle même pas de l'histoire de mon oncle qui est aussi incroyable que la découverte d'Albert Einstein et puis, il y a aussi le fait que je suis un legacien, chose un peu rare, toutes les nuits je rêve d'une personne que je ne connais pas et apparemment j'ai des pouvoirs dont je ne sais pas leurs utilités.

 

J'avais changé de chanson entre temps, les niaiseries lentes et ennuyeuses ce n'est pas mon style. Je suis un amateur de pop, pas celle de maintenant, mais celle des années 2000. La musique de nos jours est tellement peu évoluée, c'est juste commercial, remarque ça l'était aussi à l'époque, mais au moins c'était plus agréable à écouter. Je pose ma tête contre la vitre en fermant les yeux. Il paraît qu'on ne se rend jamais compte de la chance qu'on a, je suis désolée, mais vous ne pourrez jamais me faire réaliser que l'époque dans laquelle je vis est agréable. Etant un passionné d'histoire, je trouve le passé tellement plus fascinant. Les histoires des autres sont bien plus intéressantes. Vous pouvez me dire que je ne vis pas dans le présent, je ne le nierai pas. Mes rêves à moi ne consistent pas à avoir un beau métier ou d'avoir un bel avenir. Mon souhait c'est de ressemble à quelqu'un d'autre ou quelque chose d'autre. Est-ce que ça fait de moi une personne sans personnalité ? Peut-être, sûrement…

 

Il y a des gens que j'admire et je prends exemple sur eux, je suis comme ça. Vous pouvez deviner que le personnage que j'admire le plus est mon oncle. C'est compréhensible, il n'est peut-être pas l'homme le plus intelligent du monde mais croyez-moi il a un coeur d'or. Peut-être que celui-ci n'était destiné qu'à une seule. On m'a plusieurs fois reproché d'être antipathique, même moi le pense. C'est pour ça que je lis son journal presque tout le temps dans l'espoir que ses récits me changent, me rendent un peu plus humain. Un jour, je suis sûre que comme lui j'arriverai à aimer à en crever et ça ne me fait pas peur, loin de là.

 

 

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Coucou les poulets, oui je suis longue. J’ai eu des grooooooooooos soucis d’ordis, mon pc d’amuur est actuellement en réparation donc les sims ne sont pas à ma disponibilité. Puis comme j’essayais de sauver mon pondichuuw, bah j’ai pas vraiment pu me concentrer sur ma maj. mais voili voilou, c’est ici c’est là, sous vos yeux ébahits alors vous arrêtez de me bouher merci bien.. Ensuite, j’espère que cette maj vous aide un peu à comprendre parce que je sais qu’avec la dernière fois j’en ai paummé pas mal. Si vous avez des questions posez les à Neik elle sait déjà touuuut (je ne peux pas ne pas tout lui spoiler avec sa tête si adorable).


Je vous aime et wala…

30 août 2014

Discussion d'insomniaques...

It's time to forget about the past,

To wash away what happened last.

 

Source: Externe

Elle était assise sur le sofa, formé de simple coussins attachés eux-même par une banale petite ficelle. Ses yeux fixèrent ses chaussures noires avec attention, elle aimait bien le côté artisanal de cette partie de la maison. Un style rustique se présentait au voyageurs, même si elle n'appréciait pas vraiment le fait que le grand tableau aux couleurs sombres régnait avec sa grandeur sur le salon/cuisine/salle à manger de l'appartement. Autant dire qu'il gachait tout l'effet artisanal de la pièce. Elle porta unecigarette à ses lèvres rosées légèrements humides pour aspirer une bouchée de la fumée presque invisible que générait la porteuse de cancer. Tout le monde lui disait d'ailleurs que « sa facheuse manie à se griller une clope courerait à sa perte » mais la fausse blonde s'en moquait bien, croyez-moi. Un souffle et la petite brume se dispersa dans la pièce de son étroite habitation. Il était 4 heure du matin, elle n'arrivait pas à dormir. De plus, voir le visage parfait de son amante si apaisé la déprimait en quelque sorte. Elle se doutait bien que son esprit torturé ne lui laisserait jamais une minute de repos. Elle le savait et tentait de l'oublier se concentrant pour faire quelques ronds avec la fumée. Son petit nez en trompette respira l'odeur qu'il trouvait si appréciable, contrairement à la majorité. Ses yeux se fermèrent tandis que ses lèvres commencèrent machinalement à murmurer un petit air. Son corps ne tarda pas à suivre le mouvement de sa lèvre. On pouvait clairement dire que cette fois ci, sa facheuse manie avait bien reuissi à rendre son état plus supportable.

 

Source: Externe


Elle agita ses cheveux blonds lorsqu'elle tourna la tête pour voir si le bruit qu'elle avait hasardement entendu entre ses marmonemment était de sa pensée ou bien réel. Un petit garçon vêtu d'un t-shirt jaune orangé et d'un jogging, les pieds nus sur le sol, se tenait devant elle. Elle souria à sa venue et d'un petit geste de la main lui indiqua de s'asseoir avec un sourire tendre. Il s'exécuta, se hissant sur ses petites jambes pour monter sur le canapé artisanal. Elle ne lui dit rien, elle ne souhaitait pas le brusquer et préférait lui montrer par ses gestes qu'elle le soutenait malgrè la situation. Après de longues et dures minutes, la jeune femme se décida à laisser entendre le son rauque de sa voix.

- C'est le legacy ?
«  Hmm ? » Gemissa le petit, une sorte d'incompréhension dans le regard tandis qu'il leva doucement la tête, fixant le vide, l'esprit clairement ailleurs. La blonde prit une inspiration.

- Tu n'as pas l'air bien Vil'...Je sais à quel point cette lourde tâche peut te paniquer.
- Tu ne sais rien.

Il soupire d'un air mauvais fixant la jolie blonde semblant un peu hautain. Nora attrapa le menton du petit pour soulever légèrement sa tête de façon à le fixer profondément comme si elle pouvait se frayer un chemin un chemin jusqu'au abysses de son esprit.

- Et toi tu sais rien de moi, gamin.

Elle lui susurra d'un air assez angoissant qui évoqua tout de suite de la peur vis à vis de l'enfant, celle-ci se lisait clairement dans ses yeux particulier, entre un marron clair et un jaune avec une pointe de noir. Il secoua la tête de manière à se retirer de l'emprise de son angoisse et baissa les yeux de façon à s'excuser en quelques sortes. Elle s'appuya contre le mur proche du canapé et le fixa intensémment, une manière de bien lui indiquer qu'il ne devait jamais recommencer.
Il s'écarta prenant un peu peur. Il tenta de rester le plus calme qu'il pouvait et alors qu'il se releva son pied hurta le bout de la jolie carpette rouge qui décorait le sol imatation marbre. La jeune femme sourit malicieusement voyant la détresse du garçon s'accroite. Elle était fière, il avait reçu une bonne leçon.

Source: Externe

Quelques minutes après il s'était calmé et il avait finis par se rassoir sur le petit sofa. Il prit une grande et puissante inspiration, l'air entrant doucement par ses narines parcourant avec grâce et raffinement le long de sa trachée pour venir se déposer dans ses poumons. Il souffla avec lenteur puis regarda la jolie blonde intensémment.

- Je fais des rêves...
- Comme tout le monde au final, rigola la jeune femme.

 

Le garçon soupira avec un léger mépris, il n'appréciait pas le fait qu'elle se moque de lui alors qu'il lui révelait quelque chose d'important qui tourmentait sa personne.

 

- Elle a un visage vraiment doux, je ne saurais comment l'expliquer. Elle est si mystérieuse, je ne sais absolument rien d'elle. Penses-tu qu'elle existe réellement ?

Enora baissa la tête, dans son regard une soudaine pointe d'intérêt. Serais-ce un télépathe ?

- Que sais-tu d'elle ?
- Rien, elle ne souhaite rien me réveler mais son mystère me tourmante.

Elle prit une inspiration et appuya la tête contre le mur du petit salon. Ce devait être une capacité qu'il avait acquit. Mais elle n'arrivait pas à comprendre comment. Est-ce que Prudence lui aurait fait partager ses pouvoirs ? Elle l'avait bien fait pour son frère mais vu comment celui-ci avait finis, il me semblait que les deux femmes s'étaient mise d'accord pour ne plus rien mêler à cette histoire surnaturelle. Enora essayait de soigner l'obsession de Prudence comme elle le pouvait car elle trouvait ce genre de choses malsaines et trop dangereuses pour leur entourage. Elle ne voulait pas blesser Darvill.

- Tu devrais te recoucher, soupira t-elle en posant un baiser sur le front du jeune brun. Il ne fut pas surpris, la relation qu'il entretenait avec Enora était assez étrange, elle était comme une grande sœur pour lui et malgré des disputes il l'aimait et réciproquement même si de temps à autre elle l'effrayait légèrement. Il secoua la tête de haut en bas et se releva pour retourner vers sa chambre. Après être parti la blonde se décida à se lever et se dirigea dans la salle de bain.

Source: Externe


Le miroir sans aucune buée laissait voir son visage complet. Elle posa son index et son majeur sur sa cicatrice au bout de son sourcil brun. Ses yeux se fermant et se rouvrant en une dixième de seconde la destabilisa un peu. Ce court laps de temps lui avait rappelé à quel point elle avait été troublé par cet évenement. Vous demandez certainement plus de précisions mais elle en avait guère envie. Une petite goutte avait apparu et battant ses paupières, celle-ci s'était accroché à son mascara noir. Elle ferma les yeux une petite seconde et le maquillage dorénavant mouillé avait formé une atroce marque de sa détresse juste au-dessus des cernes qu'elle n'arrivait pas à soigner. Elle ne voulait plus se voir dans le miroir, elle culpabilisait. Elle avait perdu son petit frère, tout ça à cause de son immense déconcentration.

Elle ne comprit même plus ce qu'il se passait mais son point heurta la glasse la brisant en gros morceaux bien définis. Si il n'y avait pas d'autres personnes dans cette maison elle aurait pousser un hurlement personnifiant sa douleur profonde. Elle se tut et se laissa glisser sur le sol totalement désamparée. Heureusement, la belle avait été comme adopté par les Costati sinon elle ne serait pas ce qu'elle aurait fait sans eux. Ils sont tous pour elle. Prudence, la femme qu'elle aime et Darvill comme son...frère. Rien que d'y penser cela la fit sourire, elle avait perdu un frère et en avait retrouvé un. Mais elle était une inconnue pour lui du moins juste la copine de sa tante. Par contre Prudence avait la chance d'avoir ce lien avec lui bien plus intense qu'Enora ne pourrait jamais avoir. Et elle le voulait, plus que tout au monde. Elle se devait d'être cette sœur pour Darvill. Après cette reflexion, elle finit par se laisser tomber dans un sommeil profond toujours reposant sur le carelage froid de la salle de bain, le poing sanglant, les yeux rougis.

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Donc cette fois crédit uniquement à moi parce que tout de moi. Oui il n'y a pas de photos mais je les mettrai après, j'étais trop impatiante et je sais que Neikka vu ses messages: « UGUUHZUHZUHEUHEZUHDUHFUZFHUGOFKJVB »

est assez impatiente aussi. (oui elle est très expréssive ma chouquette en sucre)
Bref, je vous aime, bisous et caramel en sucre:


La chanson c'est a beautiful lie de 30 second to mars : https://www.youtube.com/watch?v=gs6EZviQMUk. Elle n'a pas vraiment de rapport mais je l'aime et ce couplet avait un petit très léger rapport.

12 juillet 2014

C'est plus qu'un jeu pour moi...

Don't You Forget About Me
Don't Don't Don't Don't
Don't You Forget About Me

Will you stand above me?
Look my way, never love me
Rain keeps falling, rain keeps falling
Down, down, down

 

LE LENDEMAIN

 

/POV MAX/

 

Screenshot-20

Je me réveille, je peux m'empêcher de sourire, je dois avouer, que j'avais bien joué mon coup. Ce n'était pas très sympa d'avoir jouer à ça mais, j'ai eu ce que je voulais et je suis peux-être égoïste mais, ça me va bien comme ça. Je bat des cils, j'ouvre les paupière. Je m'étire et me retourne doucement resserant la couette contre moi. Mais, surprise, je vois Luz, qu'est-ce qu'elle fou là? BORDEL C'EST QUOI CE DELIRE. Je sursaute et tombe du lit. Je me relève vite, elle s'est réveillée.

 

- Euuuuh saluuut...

 

Je fais des yeux tout rond, c'est quoi le délire là?

 

- Saluuut ! Bien dormi ?

- Euuuuh oui...

 

Je la regarde bizarrement comme si c'était un alien, je m'assois sur le lit et continue de la dévisager.

 

- Et....toi?

- Très bien, merci !

 

Elle s'approche de moi pour m'embrasser, je me laisse faire, je suis juste complétement choqué. Je comprends rien là!

 

Screenshot-23

- Euuuuuuh.....ouais...

- Ouais quoi ?

- Euuh je crois qu'on s'est mal compris hier...

- Ah oui ?

- Bah oui, tu sais c'était pas sérieux..

- Ah...Comment ça ?

- Mais, t'es pas sérieuse là? Fin' c'était clair, je veux pas d'une relation entre nous, c'était une blague.

- Oh, je vois.

- Ecoutes je veux pas te faire de la peine mais, je suis avec Shayna. Donc, nous deux hanhaaaa pas possible...

- Hin-hin...

- Ecoute, je veux pas perdre notre amitié tu vois, je suis désolé mais, je pensais pas que t'aurais pu avoir des sentiments pour moi. On reste amis?

- Pas de souci...

Screenshot-24

- Okay, je suis content que tu le prenne bien...

- Oui oui...

 

Je m'allonge sur le lit, dieu merci, elle avait compris. Autant je la désire, autant je continue à me dire qu'il n'y a strictement que de l'attirance physique entre nous. Puis, je suis avec Shayna, je veux pas d'une relation comme ça avec elle. Non, merci, elle a compris, j'ai vraiment eu peur...

 

Prudence, se leva de la coiffeuse ou elle se maquillait, voyant le sourire de Luz, elle sourit en retour.

 

Screenshot-27

- Alors?

- Ca a marché nickel.

- Wouaaaaah, bravo! Tu vois qu'est-ce que je t'avais dis

- Bon, procédons à la phase allumeuse, relooooking..

- Ok, je te laisse gérer.

- J'ai déjà choisis la tenue.

 

Elle sort de sa valise, une robe de pom-pom girl.

 

Screenshot-26

- Avec ça, tu vas le faire craquer obligatoirement, il a toujours voulu que Shayna soit pom-pom girl, c'est un de ses fantasmes.

- Euuuh, ok. Mais il faudrait un contexte, non ?

- Non, tu mets juste cette tenue, ça se fait de se trimballer avec dans la rue, c'est à la mode.

- Mouais, après tout, il a bien cru que j'avais cru à ce qui s'est passé hier, alors...

- De toute façon il va vite comprendre que tu l'allumes, mais c'est pas pour autant qu'il finira pas par craquer.

- J'espère que ça va marcher.

- Avec ça en chaussette, il va carrément se mettre à genoux là. Je te trouve les chaussures et la coupe de cheveux attends voir, tu vas carrément le rendre dingue.

- Je te fais confiance.

- Chaussures comme ça en rouge...Cette coiffure et tu va le rendre dingue.

- Ouais, ça devrait aller je pense.

- Tu parles, il va carrément perdre la tête

- Tant mieux.

- Bon, je te laisse gérer maintenant, tu devrais arriver à la jouer allumeuse sans moi quand même?

- Oui, merci encore.

- Bonne chance, tu vas gagner tu vas voir..

- Y a intérêt.

- Je te laisse

 

Screenshot-103

Je me suis assis sur mon lit, pour dessiner quelques croquis de paysage que j'ai croisé à Midnight. Ca va carrément me faire de la peine de partir, de plus voir Luz et cette ville. Luz rentre alors dans ma chambre.

- Hey, je vais sortir un peu, tu penses quoi de ma tenue ?

 

Screenshot-28

Je fis de grands yeux et lâchai tout ce que je possédais dans mes mains. Elle était tellement sexy. C'était pas ma Luz ça mais, je préférais cette version d'elle. Je bégayai, j'arrivais pas à parler, impressionné par sa beauté.

 

- Euuuh....

 

Je restai bête, c'est le seul son qui sortit de ma bouche.

 

- Merci, ça m'aide, dis-je en lui faisant un sourire.

- T'es....t...es....

 

J'arrivai encore moi à parler, j'avais envie de me cogner la tête contre un mur, effaré par ma stupidité.

 

- Y a pas de raté, tout est ok...?

 

Roooooh achevez-moi, pourquoi je peux plus parler? Je suis con, j'ai envie de me lever et de sortir dehors, me cognant la tête sur n'importe quoi. Elle s'approche de moi, je fond là.

 

Screenshot-35

- Euuuuuh

 

J'arrivais toujours pas à parler, voilà que je passe pour un idiot maintenant, suuuuper.

 

- Et niveau coiffure ?

 

Elle s'approcha de moi, mettant bien son visage devant le mien. Je fis de grand yeux, mon coeur battait fort, je voulais lui sauter dessus et l'embrasser comme un sauvage. Mais j'étais paralysé, je pouvais rien faire. Après avoir réussi à me dégager, je repris mon calepin, faisant mine de ne pas être intéressé.

 

- Mmm ouais sympa...

- Ooook, parfait.

 

Elle s'assit à côté de moi, et je sentis son bras frôler le mien. Je frémis intérieurement à son contact mais, continuais de déssiner comme si de rien était, je voulais pas lever les yeux et croiser son regard.

 

Screenshot-36

- Mmmm, sinon tu voulais pas sortir toi?

- Ouais, mais j'ai encore un peu de temps. Tu dessines quoi ?

 

Elle se penche vers moi et pose sa main sur mon épaule. Je voulais l'attraper là, l'embrasser, la serrer contre moi mais, je me contentai de continuer à faire des coups de crayon aligné.

 

- Des paysages de Midnight

- Ah oui, zut, j'avais pas reconnu. Tu es doué...

 

Elle se rapproche de plus en plus et pose sa tête sur mon épaule. Mon coeur bat de plus en plus fort, je dois pas céder, je dois pas céder.

 

- Merci, mais je trouve pas..

- Moi si !

- Tu me gêne un peu pour dessiner là..

 

Elle me sourit, son sourire, raaaaaah......

 

- Désolée, je m'écarte, alors.

 

Elle s'écarta et leva bien ses jambes pour les croiser devant mes yeux. Je ne pu m'empêcher de les regarder et de détailler ses courbes. J'avais vraiment, vraiment du mal à lutter, je voulais poser ma main sur sa cuisse et la pousser en arrière sur le lit. Des chaussures à talon, ça ne lui ressemble pas mais, qu'est-ce que ça lui va bien. Je repris mon dessin en silence, comme si de rien était.

 

- Une fois que tu auras fini, tu me montres le reste de tes dessins ?

- Ouais, si tu veux. Ils sont là, sur la sol là-bas, le tas de feuille blanche si tu veux.

 

Discrètement, je détournai mes yeux de mon dessin, pour observer Luz, qui se baissait, portant une robe courte, celle-ci remontait doucement, laissant voir pleinement ses cuisses, charnues, pas trop maigre, pas trop grasse, juste parfaite, comme le reste de son corps. Elle trébucha et tomba sur moi.

Screenshot-102

Elle était dorénavant au-dessus de moi, je pouvais pas vraiment fuir son regard. Je vais craquer, je vais craquer, je vais craquer...Je fermai les yeux pour ne pas la voir et je me mordis la lèvres, pour me calmer. Je me contrôlais comme je pouvais et la repoussai sur le côté.

 

- Tu me fais mal..

 

Mal au coeur oui, elle était tellement sexy que j'avais peur qu'il soit fatigué tellement qu'il battait vite.

 

- Désolée.

 

Je me levai du lit, je pouvais pas rester une seconde de plus avec elle. Je la désirais trop, ça devenait incontrôlable. Je marchai près de la porte.

 

- Faut que je fasse mes valises, on part dans même pas une heure.

- Mais nan, il reste encore trois bonnes heures.

- Regardes ta montre, il reste qu'une heure mais, si tu veux je reste un peu.

 

Nan je dois pas rester, alerte à la bombe, évacuez le batîment...

 

- Ah oui zut...Tu veux que je t'aide pour ta valise, au pire ?

- Oui je veux bien.

 

Nan tu veux pas, t'as pas envie, tu dois te débrouiller seul.

 

- Super ! Alors...Commençons ?

 

Elle me sourit. Oooh, je fond, je vais craquer. Je pars, je change de coin de la pièce pour ne pas à la voir, je rassemble mes vêtements et commence à les plier. Elle me suit.

 

Screenshot-105

- Il y a quoi qui est à toi exactement ? Que je ne me trompe pas...

- Bah tout

- Ha-ha. Nan mais que je te mette pas des affaires de Léo non plus.

- Non mais, j'ai trié déjà, ça c'est que des affaires à moi

- Ok. Bon, ben...

 

Elle prend des vêtement et ses doigts frôlent les miens. Je sens son contact, je frémis, s'en est trop là, je peux plus, là, je tiens plus, je me relève soudainement.

 

- Tu veux quoi en fait?

- Ben, t'aider à faire ta valise ?

- Je suis pas con, tu fais que m'allumer depuis tout à l'heure.

- Tout de suite, je t'allume...tout le monde n'est pas comme toi !

 

Screenshot-106

Je peux plus résister là, je la plaque contre le mur pour l'embrasser, elle tourne la tête alors et se met à ricaner.

 

- VENGEANCE.

Je souffle - Eehhh merde. Okay, je dois l'avouer, tu m'as bien eu.

 

Elle rigola, ça m'énerve de m'être fait avoir mais, ça la rend encore plus sexy.

 

- J'en reviens pas que tu te sois laissé avoir comme ça...

 

Je lui tends la main.

 

- Okay on est égaux, on fait la paix?

- Mouais.

 

Elle me serre la main. Je l'attrape avec force, et la fait tourner pour l'attirer vers moi, j'approche rapidement mes lèvres des siennes pour l'embrasser langoureusement.

 

Screenshot-107

- Tu m'excuse, j'ai des valises à terminer.

 

Je rigole et je me baisse pour continuer ma valise.

 

- J'en reviens pas que tu te sois laissé avoir comme ça...

- T'as rien de mieux à faire, sérieux...

 

Je ris encore..

 

- Ooow ça va, c'est pas tant un supplice que ça de m'embrasser en tout cas, ça l'est pas pour moi...

- Nan mais je dis pas le contraire, juste que je pense pas que Shayna apprécierait...

 

Screenshot-108

Je me relève, lui attrape les mains et l'attire vers moi, je m'approche d'elle pour lui chuchoter :

 

- Enfin, c'est qu'un jeu, tu l'as bien compris on dirait...

 

Je m'écarte en riant...

 

- Je sais je sais, mais elle, je sais pas si elle comprendrait.

 

Si seulement c'était bien un jeu...

 

- Dis-lui si tu veux mais, dans ce cas ça signifierais que pour toi ce n'est pas qu'un simple jeu et que qui plus est, j'ai gagné et tu me laisserai pas gagner je me trompe?

- Nan nan. Mais je ne vais pas lui dire, mais si elle venait à l'apprendre, tu fais quoi ?

- Tu le feras pas....

 

Screenshot-109

Ce n'était pas un jeu pour moi mais, ça l'était pour elle apparemment et si ça me permettait d'avoir ce que je voulais alors, je me fiche que ce ne soit qu'un jeu ou de réel sentiment.

 

- Je veux juste savoir ce que ça te ferait si Shayna venait à apprendre que tu t'éclates à m'allumer.

- Ce serait dommage...

 

Je devais laisser rien paraître, en fait je m'en fichais carrément, Shayna c'était juste faute de mieux et le mieux c'était Luz alors, si je devait perdre le moins bien pour cause d'avoir embrassé le mieux, j'en ai complètement rien à faire. Je lui dirai juste au revoir, ravi de te connaître quand elle partira.

 

Screenshot-110

- T'as l'air vachement convaincu...Je croyais que c'était la "femme de ta vie".

- Et peux-être que j'ai menti.

- Et peut-être que ça veut dire que tu me mentirais depuis qu'on se connaît...Ça commence à dater, qui plus est.

- Peut-être que j'ai simplement changé d'avis entre temps et que je préfère ne pas te tenir au courant des modifications...

- Laisse-moi deviner...Iris ?

 

Je souris elle était vraiment bornée mais, autant qu'elle croit ça.

 

Screenshot-114

- Peut-être, sûrement...

-...Ok, je vois...

- Hey ça va?

- Oui oui. Juste qu'entre moi et Iris c'est pas la joie, mais bon.

 

Je passe ma main sur son visage, pour la consoler, la rassurer mais, elle n’apprécie pas, elle me le fait comprendre en tapant ma main comme un reflex. Je m'écarte, j'ai compris le message..

 

- Okay...j'ai compris...

- Hm.

 

Je deviens alors froid, elle ne veut plus de moi, très bien, qu'il en soit ainsi.

 

- Je vais y aller moi...

 

J'attrape ma valise fini et je descend dans le salon.

 

/POV EXTERNE/

 

Screenshot-115

Prudence se dirigea vers Luz, discrètement voyant que Maxime était parti.

- Alors?

- Alors ça a parfaitement bien marché sauf qu'après, j'ai appris qu'une certaine fille, ni Shayna ni moi, lui plaisait, et cette fille, je la connais et ne l'aime pas. Que de joie...

- Oooooooh joie...mais, tu l'as quand même fait craquer?

- Yep. Bon, il m'a re-eue après, mais même.

- Bah si tu l'as fait craqué c'est pas tellement qu'il craque pour l'autre fille

- Je l'ai bien joué allumeuse aussi..

- Ouais mais même Maxime, quand il est vraiment amoureux, il est à fond.

- Il est pas à fond avec moi, comme quoi.

- Baah t'en sais quoi, quand je dis à fond, il pense qu'à toi, il ne vit que pour toi et blabla.

- C'est pas le cas..

- Et je me répète, t'en sais quoi?

- Ca se verrait, non ?

- Non, il se cache quand il est vraiment amoureux, il l'a fait pour Shayna au début, bon maintenant il l'est plus mais, bon...

- Mouais, mais pourquoi il a joué à m'allumer, s'il tient à moi comme ça ? Il aurait tout intérêt à...Je sais pas moi...être "romantique"

- Parce que il se bloque parce qu'il doit penser que tu l'aime pas puisque tu parle de Castiel tout le temps. Du coup, comme il pense qu'il pourra jamais être avec toi, il a trouvé que cette technique pour pouvoir t'embrasser.

- Je parle pas de...Bon, ok.

- Voilà, bon moi je te dis ciao, bisou bisou je dois y aller. Tu m'appelle dès que tu as un souci.

- D'accord.

 

Screenshot-117

Prudence s'installa dans la voiture à côté de Day et Maxime, après avoir dit au revoir, s'approcha de Luz, il la serra dans ses bras en silence, avant de pénétrer dans la voiture, sur le siège de derrière.

Luz leur fait un dernier signe de la main.

 

/POV MAX/

 

J'aurais dis lui dire que je l'aime, que c'est elle la seule, j'aurais du la serrer contre moi, déposer sur ses lèvres un doux baiser. Ah, si seulement j'avais osé. Je t'en prie, pardonnes-moi Luz, pardonnes-moi d'être faible, oublies-moi.

 

________________________________________

Vala vala, en espérant que....ouais mais flemme de parler je majouille en masse là donc musique:

https://www.youtube.com/watch?v=0jlHz0wF0Ig

P.S: Pas de n'images parce que...*voir maj précédante*

12 juillet 2014

Vengeance...

Than I get on my knees 
and praay
We don't get fooled
Agaaiiin

 

 

Luz entra dans sa chambre puis, surprise Prudence se retourna.

 

- Ah bah t'es pas avec Max toi?

- Nan, si je reste une seconde de plus avec lui je le tue.

 

Screenshot-15

Elle se laissa tomber sur le lit, toujours énervée.

 

- Il t'as fait quoi?

- Il s'est bien foutu de moi, ça se trouve, il joue à ça depuis le début, voilà.

- Mais, il t'as fait quoi?

- Il m'a allumée à fond, puis après, quand j'ai craqué, il m'a sorti un « Bonne nuit » qui voulait tout dire avant de se mettre à dormir.

- Aaaaaah c'est bien mon frère ça!

 

Elle ricana.

 

Screenshot-17

- L'élève a depassé le maître.

- En attendant, je le hais.

- Oooh faut pas, si il t'as fait un de ses jeux de séduction, ça veut dire que tu lui plaîs.

- Nan mais je te dis, il s'est foutu de moi, il a du bien rigoler à jouer à ça depuis que vous êtes arrivés, ça a du l'éclater, j'imagine.

- Ah non, Maxou il décide de le faire, il fait en peu de temps, pas du genre à prévoir un truc lui.

- Ouais, je sais pas. Mais ce qui est sûr, c'est que je le déteste.

- Tu devrais te venger

- Mouais, prévisible, non ?

- Naon non, je veux dire, là il croit qu'il a gagné, mais, il a juste gagné la bataille, à ton tour fait le céder. Je vais te coacher

- Ok, ça me va.

- Déjà, il va s'attendre à ce que tu le déteste et que tu veuille plus lui parler, ça ça va l'amuser. Il faut que tu retourne là-bas et que tu lui fasse croire que tu as pas compris le message et que tu l'as pris au sérieux. Rentre dans son jeu. Il sera bien emmerdé après. Et si il te repousse, joue la carte femme fatale, tu va lui faire vivre un enfer

Screenshot-19

- Je vais essayer.

- NAN, tu vas pas essayer, tu vas le faire et tu vas y arriver. Déjà dans un premier temps, joue la fille complètement amoureuse, ça devrait pas être dur pour toi et, il va pas aimer, je le connais. Il va te repousser, tu fais la fille qui comprend, puis après tu va passer le reste de la journée à l'allumer, tu vas voir, il va craquer et pile au moment où il cède, tu lui dis " vengeance" et tu repars comme si de rien était et là, crois moi tu l'auras ta vengeance.

- J'ai pas envie de jouer la fille complètement amoureuse...

- Mais, ça va pas durer longtemps, il va te virer vite fait et après, tu vas bien pouvoir t'amuser à l'allumer et à lui foutre des vents.

- Mouais, pas faux.

- Crois moi, tu vas t'amuser et moi aussi en plus parce que je serai aux premières loges maintenant, faut que t’aille dormir avec lui, comme ça demain quand il va se réveiller, il va en tomber de son lit.

- Ouais...Bon, j'y vais du coup. Bonne nuit et merci!

- De rien, si t'as besoin de conseil, tu viens me voir. Bonne nuit.

 

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Courte majouille mais je préfère séparer parce que cette maj centre pas sur Max mais plus sur Prue alors valaaaa. 

https://www.youtube.com/watch?v=VZEXEItKND0 >> J'aime tellement les musiques que je mets dans mes articles <3.

P.S: Pas de n'images pour l'instant, je maj tout d'un coup pour rattraper, après je les insérerai quand j'aurais le temps.

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