*18*

"Salut ma puce, tu es prête à grandir? J'espère que oui parce que nous on est prêts à te regarda.

- Sally chéri, tu peux arrêter de parler, s'il te plaît, je veux parler à ma petite chérie. Alors, ça se passe bien. T'y arrive à l'école. Ton cartable est prêt. T'as déballé t'es affaires. T'es superbe. C'est quoi le point sur ton visage, tu as un grain de beauté, on t'as frappé c'est ça. Qui t'as frappé, qui?!

- Euh papa, calme-toi c'est juste un bout de laine. Bon, Nayla tu peux dégager stp, je veux voir prune.
- Day, je sais que tu m'en veux mais, tu dois savoir que...
- Tais-toi, j'en ai marre de tes interminables phrases que je comprends pas, pousse-toi et tais-toi, c'est tout.
- Day, Arrête de parler comme ça à ta sœur!
- Bon, allez je t'envoies une photo de Prudence.

Nayla: Ena, c'est quoi cette robe?! JE VAIS TE TUER!!

Je savais que j'allais grandir mais, je ne me rappelais plus du tout quelles sensation je pouvais éprouver à ce moment-là. Une lumière apaisante m'entoura et je pris 1 m en même pas une seconde. J'avais du mal à m'équilibrer. J'étais devenue vraiment grande est c'était pas vraiment rassurant. Tout c'était développé si vite chez moi. J'observais ma tante fasciné alors qu'elle avait elle même vécu ça. Elle était contente pour moi même si elle ne le laissait pas paraître derrière sa mine boudeuse. Elle voulait me faire comprendre qu'elle était très énervée mais, je savais très bien qu'elle ne l'était pas vraiment. Mon premier reflex a été de sourire bêtement et de m'écrier:

"Je suis belle?! Je veux me voir. Oh my god, je suis trop canon."

[le lendemain, le jour de la rentrée]

J'entrais dans le couloir, sombre et étroit du lycée. Les hommes portait tous le même uniforme et les filles variait mais, c'était globalement jupe bleu et chemise bleutée. Je sens que l'année va être dur, tout le monde se ressemblaient ici. On se croirait dans un troupeau. Je détestais cet endroit. 

"Personne ne se démarque ou a de propre style, tout le monde est pareil. Il n'y a aucune indépendance. Comment distinguer les filles populaires, les cas sociaux, les intellos et les solitaires? Je ne m'adapterais jamais à un endroit où il n'y a pas vraiment de hiérarchie social."

J'étais perdu dans mes pensées quand j'entendis d'une voix d'homme;

Hey toi avec la minijupe, tu m'excites espèce de salope, viens me voir, j'ai bien envie de toi. (bwef, gros pervers quoi.)

J'avais peur, j'étais même effrayé. Je n'avais jamais entendu de tels propos. C'était vraiment vraiment choquant. J'ai deviné ses intentions et j'ai couru de toute mes force pour traversa le couloir. Une infinité de casiers rouge était côte à côte. C'était toujours pareil, j'ai cru que je ne sortirais jamais de ce cauchemars. Je me suis même pincé deux à trois fois pour être sur que je n'étais pas en train de faire un de ses rêve terrifiant.

Hey! ces mots, sortir de derrière moi. Dans ce sombre couloir où j'étais apeuré. Quelqu'un venait de me parler. Il venait de dire un simple mot qui m'avais mis dans tous mes états. Ce mots, l'autre débile l'avais employé. Dans l'obscurité du couloir sans fin, j'avais pris le temps de souffler et ce temps là avait permis à un imbécile fini de me rattraper. J'avais pourtant couru de toute mes force. Il devait être vraiment rapide. J'avais peur, je coupa mon souffle un instant pour faire comme si je n'existais plus mais, c'était idiot. Il était derrière moi et il m'avait vu. Il fallait que je réagisse, que je lui donne une bonne leçon. Cette fois je ne fuirai pas.

D'un air déterminé, je me retourna plus vite que l'éclair et je gifla cet homme qui méritait une bonne leçon. Il m'a fallu une bonne seconde pour réalisé qu'il y avait eu erreur et que je venais de gifler un pauvre innocent qui voulait juste me parler. Je suis vraiment stupide. Je n'ai pas eu le temps d'arrêter mon coup et le pauvre jeune homme se prit ma grosse gifle en guise d'accueil.

" Aïe, c'est comme ça qu'on dit bonjour chez toi?
Ooh, je suis vraiment, vraiment désolé, je t'ai pris pour quelqu'un d'autre."

Je me sens vraiment ridicule et idiote de l'avoir frappé alors, qu'il ne me veux absolument aucun mal. J'ai vraiment honte de moi. J'aurais du au moins regarder avant d'agir.

"Je suis vraiment désolé, quelqu'un n'a pas été très sympa avec moi tout à l'heure et je t'ai pris pour lui. Tu as pris à sa place, je suis vraiment désolé.
- T'en fais pas, je comprends, je peux voir dans tes yeux que tu dis la vérité. Puis, qu'elle personne est assez sadique pour gifler quelqu'un qu'elle connait pas?!
(je me sens visé ....)
- Je suis contente que tu m'en veuille pas, je m'appelle Day.
- Wouah, ton prénom est super original, j'adore! Je m'appelle Samuel. Je suis désolé de l'accueil que tu as eu dans notre école à cause de l'autre pervers de Josh. Tu comprends, t'es jolie et ça le met dans tous ses états.
- Hum, merci du compliment.
- Tu veux que je te fasse visiter? Je tiens à te faire un meilleur accueil, plus digne de notre lycée.
- Ça marche.

(oui mais, non, c'est pas ça la visite)

"Dis, Samuel pourquoi elle ne porte pas d'uniforme elle?
- C'est une joueuse de basket, elle porte la tenue de l'équipe. Chez nous, le basket féminin c'est comme les cheerleaders chez vous. En gros, les grosses pestes qui saoule tout le monde et qui se croient les plus belles du monde.
- Euuh, j'étais une cheerleaders dans mon ancienne école.
- Aaah, (la gaffe) je savais pas, désolé.
- T'en fais pas, on est quittes puis, j'ai changé et c'est vrai qu'on correspondait pas mal à la description."

"Ouais et donc là, c'est la cour de récré qui..."

Il a beau parler, je n'en a absolument rien à faire. Je le regarda pour faire un bilan complet de son anatomie. Sous son stupide uniforme se cachait un vrai beau goss. Ça se voit, il s'entretient, il fait pas mal de sport. Bon, je divague, je vais plus me centrer sur son visage, son magnifique visage. Même si sa couleur de cheveux est plutôt étrange, il a une coupe qui se font bien avec son visage. Ses yeux bleu, illumine parfaitement son visage et s'accorde très bien avec son teint. Je vais pas me mentir, si je le noterai, je lui donnerai un bon 10 sur 10. 

"Hého, tu m'écoutes?
- Hum? Oui, vas-y continu.
- Non, c'est bon je vois que tu mécoutes pas. Donc, bref ici c'est la cour de récré et je t'épargne les détails que je t'ai déjà raconté il y a 5 minutes."

/DRIIIIIING/

" Oh, c'est la sonnerie. On doit aller en cour, je te vois après, OK. Tâche de gifler personne entre temps.
- Mmm je crois que j'aurais du mal à me contrôler. "

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[Mamie-Istina]

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